Qars Jibreen, la Cité des Djinns

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Eöl
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Qars Jibreen, la Cité des Djinns

09 nov. 2016, 17:57

Résumé du premier chapitre :

Nos quatre aventuriers ont été convoqué par Melik Ibn Mussah, le grand Kahini du royaume, pour une étrange mission, la routine pour Assai mais une surprise pour les trois autres protagonistes. Tout part du journal d'un certain Bohémond de Tarente, sur lequel Adballah, le grand roi de Jergath a mis la main. Ce récit raconte l’expédition de trois chevalier Escartes, Adhémar de Monteil, Bohémond de Tarente et Gautier sans Avoir, qui aurait malencontreusement échoués, suite à une grande tempête de sable, dans la cité des Djinns. Là, ces infidèles ont profité de l'occasion pour voler une des sept épées du prophète Muhamad, mettant en péril l'équilibre de Kh'Saaba, avant de s'enfuir dans le désert. Le journal s'arrête au moment où Gautier et Bohémond, les deux survivants de l'expédition reviennent à Sagrada.

Melik explique ensuite aux aventuriers que malheureusement depuis la disparition de l'épée les phénomènes mystérieux se sont multiplié dans le royaume, et que les voyants prédisent un avenir sombre si cette épée n'est pas ramené au royaume des Djinns au plus tôt. Nos 4 aventuriers se mettent donc en route pour Sagrada au plus tôt, empruntant un Drakkar afin d'atteindre au plus vite leur destination.

A bord du bateau il font la connaissance de Sven, un grand viking qui bien que paraissant très agressif au premier abord se révèle finalement un compagnon de voyage plaisant. Mais surtout Muhamad parvient enfin à convertir ses premiers adeptes de Daounia en usant de certains stratagèmes que l'ont pourrait qualifier de peu honorable.

Arrivé en ville, la recherche se révèle plus ardue que prévu. Tout d'abord un certain Raïss Hassoun Ibn Khalef fait régner un climat d'insécurité en ville en s'attaquant à tous les symboles de la domination Escarte, et ensuite Djaïd Ibn Aziz, le prince des voleurs ainsi qu'il se fait appeler, dirige d'une main de fer le milieu du crime en ville, et notre malheureux Assai à malencontreusement attiré son attention. Pour couronner le tout, leur meilleur indice pour retrouver l'épée, Gautier Sans Avoir, qui errait en ville à moitié fou suite à sa rencontre avec les Djinns voit son esprit malencontreusement irrémédiablement détruit par une mauvaise utilisation de la magie de Muhamad.

Le peu d'espoir qui leur reste concerne Hassan, le conducteur de la caravane qui a ramené les deux chevaliers Escarte du désert, à moins que les cartographes Agalanthéens de la ville ne parviennent à faire un miracle avec la carte retrouvé sur le pauvre Gautier.
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Eöl
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

19 déc. 2016, 15:01

Résumé du second chapitre :

Nos quatre aventuriers ont été rejoint par un puissant chevalier Dorkade, Srifos, un vieil ami d'Assaï, grâce la promesse d'un bon salaire et surtout l'éventualité de rencontrer des Djinns et autres créatures de légende. L'impact de notre nouvel ami ne s'est pas fait attendre, une réduction substantielle ayant été accordé par le cartographe Agalanthéen pour son travail sur la carte, et Adaia a vite compris l’intérêt de s'adjoindre notre nouvel ami afin de facilité les négociations.

Grâce à la carte, nos héros ont ensuite pu faire le lien entre l'amulette permettant de rejoindre la cité des Djinns et le culte de Zamul, dieu du Désert Agalanthéen dont l'un des temples a notamment été pillé lors de la prise de Sagrada. L'interrogatoire d'Hassan a quant à lui permis d'apprendre que Gautier Sans-Avoir lors de son retour du désert transportait un magnifique Shimshir, qui lui a été dérobé par Raïss Hassoun Ibn Khalef Abd-Al-Sufien. Ce dernier est connu en ville pour son fanatisme religieux et sa haine des Escartes et autres étrangers qui se sont installés sur les terres Saabi.

Les pièces se mettant en place, Muhamad décida d'aller faire plus ample connaissance avec Hassoun en vérifiant au passage que l'épée en question est bien l'une des sept épées du prophète (épée de la colère) dérobé par les infidèles dans la cité des Djinns. Ayant confirmés ses soupçons, il manqua cependant quelque peu de courage au moment de lui demander l'épée, et s'en fut, piteux, rejoindre ses camarades.

Puis vint la visite du temple, où grâce à la présence de Renaldus, il reçurent un accueil plutôt cordial. Cordial mais peu fructueux, car malgré leurs questions et les observations de nos amis, pas le moindre signe d'une amulette dans le temple ou même dans les légendes concernant Zamul.

Et c'est au moment du départ que tout bascula pour nos héros. Muhamad, laissant passer ses camarades devant, fut pris d'une soudaine crise de fanatisme religieux, et décida qu'il était impie que ce soit-disant Zamul ait droit à un temple dans Capharnaüm quand sa glorieuse ancêtre Dahounia devait se contenter d'un petit autel dans son sac de voyage. Dans sa fureur vengeresse il lança un sort qui détruisit le temple, lui faisant gagner au passage le respect d'Hassoun, témoin discret de l'événement.

Néanmoins, à la suite de cet acte, sa côte de popularité ayant fortement été réduite en ville, il décida de laisser la suite à ses camarades, et passa la nuit en présence du taciturne et peu amène Renaldus, dont le sang Agalanthéen ne pouvait que se révolter devant la destruction de l'un des temples sacré de son peuple.

Pendant ce temps Assai, Adaia et Srifos partirent explorer le temple, profitant de la nuit pour chercher ce que les prêtres avaient bien pu leurs cacher, et firent la découverte d'un second temple secret sous le premier. Après avoir échappé de justesse à la mort à cause du seul piège encore actif dans le temple, et grâce au sacrifice "presque volontaire" de deux gardes de la cité, ils parvinrent à invoquer Zamul, qui se révéla en fait être un Djinn trompant son ennui en se faisant passer pour un Dieu. Devant le prix exorbitant requis par ce dernier pour leur fournir une amulette, nos aventuriers décidèrent de plutôt tenter leur chance dans l'un des autres temples de Zamul de Capharnaüm et quittèrent les lieux, laissant derrière eux deux cadavres qui ne manquèrent pas d'aggraver le bazar en ville dans les jours suivants.

Heureusement le chaos ambiant laissé par les aventuriers sur leur passage semblait plaire aux Dieux, la chance continuant à leur sourire. Tout d'abord, impressionné par la foi et le pouvoir Divin habitant Muhamad, Hassoun se fit un plaisir de leur remettre l'épée, et ensuite ils parvinrent à quitter la cité sans se faire remarquer pour se diriger vers la cité en ruine de Néréa, sur les bons conseils de Renaldus.

A Néréa ils n'eurent aucune difficulté à trouver le temple de Zamul, à côté duquel ils établirent un campement. La nuit qui suivit fut plutôt agité, avec une attaque de bandit en point culminant, attaque qui se conclut par le massacre d'une cinquantaine de bandit et de leur chef, sur lequel Renaldus récupéra un magnifique Shimshir. Le lendemain matin, un passage fut découvert sous le temple, menant sans aucun doute possible à un autre temple secret comme à Sagrada, mais devant la possible présence de piège le groupe se lança dans d'interminable palabre pour décider de la meilleure façon de s'enfoncer dans les profondeurs du temple.

Lassé des discussions, Muhamad choisis de faire confiance à sa foi, et s’avança seul dans le corridor, les yeux fermés en chantonnant des textes religieux implorant Dahounia de lui montrer la voie. Et nos amis stupéfait purent voir un nouvel échantillon de la toute puissance de Dahounia. Devant leur yeux ébahis, Muhamad traversa sans encombre tous les pièges placé par les constructeurs Agalantéens. Déclenchement en retard, trappes bloqués, pièges placé trop haut pour toucher un Saabi avançant courbé devant ses Dieux, mécanismes rouillés, de miracle en miracle Muhamad et ses compagnons finirent par atteindre le sanctuaire secret du temple.

Là ils découvrirent une amulette semblable à celle du récit des Escartes, ainsi qu'un lot étrange de tablettes Agalanthéenes.

Il ne semble donc plus rester à nos aventuriers qu'à découvrir la cité des Djinns pour y rapporter l'épée de Muhamad...
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

20 févr. 2017, 13:56

Résumé du troisième chapitre

L'exploration du temple de Zamul à Néréa a permis à nos aventuriers de mettre la main sur une des fameuses amulettes servant de clé pour rejoindre la cité des Djinns. Malheureusement, les seules informations concernant sa localisation restent : "Dans le désert, au sud de Zarbeth". Un peu vague je vous l'accorde.

Nos cinq aventuriers se remettent donc en route vers le sud, pour rejoindre Zarbeth, quand Muhamad apprends que leur route les amènera à proximité du village des prophètes. Poussé par la possibilité de pouvoir communier dans les lieux même où le plus grand des prophètes de Jazirat a vécu, il fait faire à ses compagnons un léger détour. Détour approuvés par le reste des membres de l’expédition, pour qui la traversée du désert commence à se révéler problématique. Malgré la présence d'une route caravanière très fréquentée, nos amis ont en effet réussi à se perdre à de nombreuses occasions, passant plus d'un mois dans une traversé durant habituellement deux semaines.

Ils recrutent donc à l'auberge Abdul Ghaffar Ibn Khalil, un explorateur des Walad Badiya accompagné de son Abzoul, chargé de les convoyer dans le désert profond contre un salaire de misère. Muahamad et Assaï profite quant à eux de l'occasion pour interroger les différents prêtres au sujet de la cité des Djinns, et apprennent que la réponse qu'ils recherchent pourrait éventuellement se trouver au Sietch Abbir, en plein cœur du désert.

Le groupe se remet donc en route, et grâce à son guide arrive sans encombre au Sietch Abbir. Où du moins c'est ce que nos aventuriers croyaient, car après le passage de Zarbeth la vigilance d'Abdul fut prise en défaut par un groupe de 4 jeunes hommes scorpions qui tuèrent Srifos et faillirent s'emparer d'Adaia. Je ne parle même pas de l'état du reste du groupe, la seconde mort n'étant évité que de justesse, et nos amis s'empressèrent de s'éloigner du lieu de l'embuscade, de peur que le reste de la tribu ne débarque.

Nous pouvons d'ailleurs noté que la radinerie de notre ami Muhamad, souhaitant préserver son parchemin de résurrection, à transformer Srifos en Mort-Vivant, qui ne tient à la vie que par un fil. Et pour couronner le tout, nos amis ont maintenant identifié l'arme récupéré par Renaldus sur le cadavre du bandit à Néréa. Il s'agit de l'une des sept épées de Muhamad, la gourmandise, ce qui conduit notre ami Agalanthéen à non seulement prendre un peu de poids, mais surtout à descendre les provisions de l’expédition à vitesse grand V.

Malgré tout nos amis sont parvenu à rejoindre le Sietch Abbir, grand fief d'intégriste qui soumet nos amis à une semaine d'épreuve afin d’estimer si ces derniers sont dignes de connaitre le secret de la position de la cité des Djinns. Et autant vous dire qu'avec un Dorkade, un Agalanthéen et quelques personnes à la foi douteuse, ce n'était pas gagné.

Durant cette période, une petite altércation éclate entre Muhamad et Renaldus, sur fond de confiscation d'épée, et nos amis passe tout près de l'accident diplomatique dans le sietch. Mais grâce à un petit coup de pouce du destin, nos héros parviennent à terminer la semaine de mise à l'épreuve, et Muhamad pu enfin jeter un coup d’œil sur le parchemin donnant l'emplacement de la cité des Djinns.
Sammy
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

27 mars 2017, 16:23

J1  Sietch Abbir

Enfin j’ai retrouvé mon épée. Sous prétexte d’une prise poids non-contrôlé, Muhamad l’a fait confisqué par le garde du corps du grand Abdallah Ibn Malik. Il faudra que j’interroge le roi sur lui. Depuis sa course après la poussière des bandits au temple Zamul de Néréa alors que le groupe s'apprêtait à prendre la route du sud, j’ai des doutes quant à ses motivations, et ses capacités de discernement.
Toujours est-il que la tension s’est calmée. Muhamad à pu convaincre Farok de nous remettre une carte pour trouver la cité des djins. Il faudra chercher à l’ouest du cimetière des Dragons.
Serait-il possible que ces majestueuses créatures viennent mourir dans ce lieu inhabité ?

J3  traversé du désert

Voilà deux jours que nous sommes partis. Liet, une sorte d'ermite qui fait des aller-retours pour prier dans le désert nous accompagne. Il aurait déjà aperçu Nars Djibrin lors d’une de ses traversées. Sentant la mort approcher pendant une tempête de sable, l’ascète se préparait à passer dans l’autre monde quand une accalmie lui permis d’apercevoir une falaise. Dans cette falaise, une caverne, et devant cette caverne, une créature sans pieds.
De toutes évidences un djin gardait l’entrée de sa cité. Liet trop pieu a préféré s’en-aller, s’estimant indigne de respirer un air si proche d'une présence divine… La faiblesse d’esprit des religieux…
Mhumad à quand même pus voir dans son esprit le visage d'un enfant, surement ce que le vieil homme cherche entre les dunes.


J10 Traversé du désert

Toujours ce sable, et ces dunes qui cachent encore du sable… Certain d'entre nous me semble particulièrement à l'aise dans cet environnement plus qu'agressif. Abdul Ghaffar et son Abzoul chassent et arrivent même à trouver des herbes pour rehausser le goût des plats. De quoi évacuer la lassitude accumulé dans la journée.
D’après nos guides il nous reste encore plusieurs semaines avant le cimetière des dragons. Heureusement, le soir certains d'entre nous participent aux divertissements. Srifos et Assaï s'entrainent à l'épée, et le soir le vieux Liet a quelques histoires intéressantes sur les créatures qu'il a déjà rencontré lors de ses voyages. Il nous a parlé d'une légende à propos d'un Waswas, une ombre du désert jouant sur les peurs de celui qui se retrouve sans lumière.


J18 de la traversée du désert

Avons croisé un serpent des sables. Pas de pertes (2 esclaves)

J22 de la traversée

Nous avons rencontré un Zoba'a. Le vieux Liet ne doit pas avoir toutes ses facultés, il l'a d'abord pris pour une tempête. Dès que je l'ai vu, je n'ai pas hésité une seule seconde pour prendre de la distance avec lui. La quasi totalité du groupe s'est éloigné aussi suivant les injonctions du saint-homme, mais Muhamad semblait vouloir se mesurer à lui. Pour tester les pouvoirs de sa Déesse peu-être. Toujours est-il qu'il nous dépassa avant de s'enfoncer tête la première dans le sable, et nous parla d'une apparition de Dounïa. J'ai surtout vu son saint-arrière-train dépasser du sable quand il a atterri. Depuis il nous rabâche les oreilles avec la protection qu'elle à assuré à son descendant. Si seulement il pouvait reprendre son jeun, peu-être qu'il n'aurait plus la force de parler.

J32 Le cimetière des Dragons

Enfin le cimetière. Enfin, le cimetière...
A la place d'os, des piques rocheux pouvant faire office de cage thoracique... La vie semble particulièrement absente de ce lieu, la qualité des repas s'est rapidement dégradé. Encore quelques jours de voyages pour traverser ce nouveau paysage et nous pourront nous mettre à chercher l'entrée de Nars Djibrin.

J45

Cela fait déjà trop longtemps qu'on tourne en rond en attendant une tempête dans ce désert. Hier nous avons surement trouvé un moyen de nous y rendre. Muhamad guidé par sa déesse porte l'amulette du temple Zamoul. Au bout d'un certain temps il devient comme possédé par ce collier et ne répond pas à nos injonctions, mais prend une direction bien particulière. Ce soir nous sommes en face d'une tempête qui nous attend.


J47 Nars Djibrin

Notre mission est un échec.
Au lieu de rendre l'épée aux Djins nous voici chargé d'une nouvelle quête. Pour commencer un garde à voulu nous empêcher d'accéder à la citée caché dans la tempête. Un Escarte, et à en croire la chevalière retrouvé sur son cadavre inanimé, Adémar de Monteil, le troisième des chevaliers qui volèrent l'épée à l'origine de cette aventure. Cette rencontre me permis tout de même de démontrer la puissance des dieux Agalanthéens. Il faudra peu être renommer la cité Nars Djibrin sur Elea... A l’intérieur, une cité aussi vivante que le cimetière des dragons, à l'évidence les Djins n'occupaient plus les lieux, mais nous avons tout de même trouver un autel pour accueillir l'épée de la colère. Cela n'a bien entendu pas suffit à rendre à la vie cette cité. Un des anciens habitants, le dernier à pouvoir revenir nous a t'il dit, est apparu et nous a demander de retrouver les autres épées. Le pouvoir des Djins semblent corrompus et Jason serait derrière l'attaque.Il nous demande de les retrouver pour les aider, encore un grand voyage en perspective. Pokedjin nous parla aussi de l'enfant de Liet, effectivement disparu dans le désert. Si ce froussard n'avait pas fui devant l'Escarte il aurait eu directement les informations.
Fidji
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

08 avr. 2017, 17:17

Extrait du Livre Sacré de Daounia


(...) Alors on vit le Djiin donner un étrange artefact au prophète.
Ce-dernier, tenta de le garder, mais l’Agalanthéen usa de malice,
et il fût décidé que l’artefact lui revenait.
Le curieux Dorkade, curieux, posa la main sur l’artefact, et ses rouages tournèrent.
Une effigie, représentant un djiin sortit, grâce à un mécanisme,
et dit d’une voix forte : “300 vers l’est, 200 vers le nord, 150 vers l’ouest, 50 vers le sud.
100 vers l’ouest, 500 vers le sud, 350 vers l’est, 400 vers le nord.
100 vers l’est, 20 vers le nord, 50 vers l’ouest.
En jour de voyage pour une caravane de l’Empire.”

Le guide du Saint Groupe essaya vainement de déchiffrer l’énigme,
puis, une étincelle s’alluma dans les yeux du mort :
“Il faut aller à Kérasine !”
Les Saabis et l’Agalanthéen le regardèrent, sans vraiment comprendre
comment il avait pu résoudre l’énigme. Le guide lui-même reconnu, après calcul,
que le mort disait vrai.
En son fort intérieur, le Prophète sût que Daounia lui avait parlé.
A Kérasine, l’Orgueil les attendait.

Mais le groupe savait qu’il devait d’abord se rendre auprès du Sultan.
Il fût donc décidé de rejoindre l’Oasis fabuleux d’Adaia la Riche.
Cet Oasis, un étal de richesse, ne plut d’abord pas au Prophète, car Daounia
La Juste, prône la pauvreté.
Un Majestueux Palais surplombe un beau village,
de Facade blanche, et entouré d’eau pure,
tout, même l’air, transpirait la richesse.

Le groupe passa un certain temps dans l’Oasis, car la Marchande
devait s’affairer.
Le Prophète en profita pour prêcher. Il s’adressa aux foules, et déclama la parole divine.
Jamais il n’avait fait plus beau discours.
“En vérité, en vérité, je vous le dis, l’assassin peut être le meilleur tueur du monde,
mais s’il plonge dans l'eau fraîche d’une oasis,
sans se départir de ses riches atours,
il risque la noyade, ou l’humiliation de revenir sur la rive comme un chien.”

La parabole du prophète lui avait été inspirée par Assai et sa malchance.
Et la foule fût émue par ce discours. Le Prophète récolta des fonds incroyable pour la construction du premier temple de Daounia.
Il obtint même un lopin de terre auprès de la marchande, moyennant 50% des dons du temple.

Le Prophète eut quatre semaines pour former son premier prêtre.
Dounia remercia Adaya pour la terre en bénissant sa nouvelle caravane,
partie vers le Nord, et le groupe du Saint repartit vers Jergat.

Ainsi, après 1 an et 8 mois, ils revinrent auprès du Sultan.
Ils partirent 4, et revinrent 6 en arrivant à la ville.
Hélas, le Sultan ne fut pas impressionné par le récit des aventures,
Mais, sachant l’ampleur de la tâche, aida comme il pût le groupe.

Puis, Daounia envoya une épreuve à un de ses fidèles.
Assai, voulant profiter de ses gains, étala son argent, en donnant la moitié
A son esclave, pour qu’il parte s’amuser.
Ce qu’il fit. Il le fit si bien, qu’aucun du groupe ne le revit jamais.
Les rumeurs dirent qu’il rentra en son lointain pays.
Le Prophète essaya de montrer à Assai que la richesse était vaine
et n’apportait que malheur, et soucis,
mais il ne voulut pas l’entendre.
Continuant la quête du Djiin, Muhammad partit au temple de Houbal,
ennemi de Daounia, pour demander l’Epée sacré.
Le grand-prêtre refusa, mais promis de la donner, si le groupe ramenait les 6
autres.

Renaldus essaya de faire fonctionner à nouveau l’Artefact, mais, étant impie,
échoua, et le Djiin resta muet.
Le groupe décida de partir en bateau, rejoindre Kérasine, ville dans laquelle
le Prophète souhaitait fonder un nouveau temple.
Le voyage se passa sans encombre, sauf pour des pirates Dorkade
qui croisèrent le groupe sous la protection de Daounia.
Une fois de plus, elle prouva sa puissance,
réduisant à néant le chef ennemi, mort en implorant.

Le groupe entier, protégé par la déesse, massacra les pirates, sans que jamais
l’ennemi ne fasse couler leur sang.
(...)
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

15 mai 2017, 19:27

Les chroniques de l'homme en noir
Extrait du journal d'Assai Ibn Rachid Abd-al-Hassan

Chapitre 5 Arriver sur Carrassine

Après avoir navigué durant des jours qui me paraissait être une éternités je pus enfin contempler la magnifique ville de Carrassine,surplombant , l'horizon , je reconnu tout de suite le mélange formidable de savoir faire Agalanthéein et Sahlhabi .

Malgré la splendeur de son port hors du commun nous fîmes contraint d'accosté dans un endroit lugubre et malfamé du port.

Je fut alors surpris de voir que le groupe se sépara aussitôt puisque la cité me sembla immense et les chance de se retrouver était mince, mais il nous fallait trouver des indices......
Dame Adaia Ibn Yucef Abd-al-Salif et Mohamad Ibn Mammûd Abd-al-Tarek se proposèrent d'aller aux temple.

Quant a Renaldus Olutus une nouvelle fois la faim l'ayant assaillit il partis au grès de sa pence .....

Je pris alors la décision de partir à la taverne avec Srifos en qui j’avais lié une réel amitié et une confiance quasi aveugle.

Arrivé dans la taverne nous vîmes de fiers et puissant guerriers aux armures rutilantes et à l’allure rempli d'assurance,pour nous mêlé à eux nous prîmes la décision de leur offrir à boire.
Ils acceptèrent et burent d'un trait , j'entamai alors la conversation, mais d'un aire remplit d’ennuis et de dédain ils se levèrent et partirent sans dire un mot..... mes pensée voguèrent alors vers la fois ou j’avais froidement mi un vent a Mohamad Ibn Mammûd Abd-al-Tarek quand il me parla de religion.


Fort heureusement pour nous le tenancier fut plus loquace et nous raconta que la cité était au bord de la guerre civile, le roi ayant disparut depuis prés de deux ans, les chefs des trop nombreuse légions se déchiraient.

Le groupe entier se rejoignit alors au centre de la ville pour un bref groupage d'informations.Grâce à dame Adaia Ibn Yucef Abd-al-Salif nous séjournâmes aux plus belle étage d'une belle auberge.

Toutes les informations se regroupèrent alors autour de la 1ere légions et de son chef Bakkar manni N 'Bassal.



Pendant ce temps Dame Adaia Ibn Yucef Abd-Al-Salif et Mohamad Ibn Mammûd Abd-Al-Tarek essayèrent de s'inviter à la réunion des 9 chefs de légion de la ville aux palais royaux...
Hélas malgré la remarquable intervention magique de Mohamad Ibn Mammûd Abd-Al-Tarek qui créa un laissez passer royal signé de la main du roi... Ils furent découvert par Mamoud Ibn Yucef, Abd-Al Salif le chef de la 5e légion.

ils furent alors contraint de tout avouer, au prince.
Celui ci nous donnâmes rendez vous plus tard dans un endroit à lui plus discret pour nous avouer son plan et ses noirs dessins .

Les complots politiques et le plan de Mamoud Ibn Yucef, Abd-Al Salif fut malheureusement mal compris puisque une énorme campagne d’assassinats plus aux moins discret eurent lieux au même moment. Dame Adaia Ibn Yucef Abd-al-Salif la dessus sentant le vent tourné se mit aux vert.

Évidement comme je le savait on ne s'improvise pas assassin et nous fûmes bientôt découvert, par la princesse Zaïna Bint Kahlil ABD-AL Salif et ses membres de la huitièmes légions.

Après de piètre négociation une rude bataille s'engagea....

Je m’avança et me mit en position défensive prêt de Mohamad Ibn Mammûd Abd-Al-Tarek,je fut alors assaillit de toute part protégeant corps et âme Mohamad Ibn Mammûd Abd-Al-Tarek qui entama son récital et nos ennemis furent cuit à point pour apaiser la colère de Daounia.


Notre ami Renaldus Olutus fut quand à lui confronté à un légionnaire en armure lourde le combat fut rude mais aidé de ça fidèle épée divine, il eut raison de lui.

Srifos fit face à un cavalier Absoule, l'assault fut d'une violence extrême, mais la rage et la sauvagerie de mon colosse d'ami mirent rapidement un terme aux combat.

Après la bataille Mohamad Ibn Mammûd Abd-Al-Tarek nous soigna.

Les choses allaient de mal en pire puisque bientôt nous furent rechercher par plus de 9000 soldats furieux.....Heureusement nous reçûmes la visite de Aziz envoyer par le chef de la 5eme légion. Il nous guida à travers les égouts pour accéder aux palais.

j'avais enfin une missions claire, mais suicidaire consistant à enlever le prince Bakar Mani N'Bassal. M'étant aperçut que celui ci n'était pas seule dans sa chambre, je pris la liberté d'enlevé plutôt son fils ainé.....lui laissant une lettre qui le contraint à agir seule et à l’extérieur de la ville en tout discrétion tout en oubliant pas de emmené la précieuse relique....pour sauver la vie de de son fils.

Le rendez vous et l'échange eurent lieu sans aucun incident.
Et enfin je m'emparai avec une grande fierté de la précieuse épée.
J'ai perdu concrètement mais pas moralement, je vaincrai la prochaine fois ....

car perdre la bataille, perdre la guerre, ce n'est pas une défaite, si on ne se perd pas soi même.
Noizette
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

06 juin 2017, 15:50

Message envoyé par faucon voyageur ... [euh trop cher]
Message envoyé par pigeon voyageur ... [euh encore trop cher]

Message envoyé par moineau voyageur :
Message adressé à la divine marchande dame Adaia ibn Yucef Abd-al-Salif, ainsi qu'à Mohamad ibn Mammûd Abd-al-Tarek, auguste représentant de l'inénarrable déesse Daounia

Afin de faciliter votre retour au sein de notre groupe, je vous prie de noter que nous avons fait halte à Sagrada. Le séjour s'est déroulé dans une ambiance de jeûne et d'abstinence ... [trop gros, ils ne vont jamais y croire... tant pis, je laisse]
Nous avons repris le chemin et faisons route vers vous pour la suite du voyage.

Le moineau ne pouvant porter un message plus long, un compte-rendu détaillé vous parviendra par chameau porteur [Si mon abzoul ou Renaldus ne le boulotte pas avant qu'il ne parte. Je parle du chameau bien sûr, pas du compte-rendu]

Votre dévoué guide Abdul Ghaffar ibn Khalil
Noizette
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

13 juin 2017, 15:01

Message à l'attention de Adaia ibn Yucef Abd-al-Salif et Mohamad ibn Mammûd Abd-al-Tarek

J'espère que ce chameau messager vous trouvera en bonne santé. En attendant votre retour, voici le compte-rendu détaillé de nos activités en votre absence. Comme vous vous en rendrez compte, nous avons obéit aux consignes strictes de discrétions

- Désert - Sud de Carrassine
Progression rapide dans le désert. Je ne sais pas pourquoi mes camarades semblent pressés de s'éloigner de Carrassine, mais soit. Après 3 jours de marche, nous voici seuls dans ce merveilleux endroit qu'est le désert. Aida et Mohamad ayant des affaires urgentes à traiter par ailleurs, le reste du groupe décide de poursuivre la recherche des épées. Et quoi de mieux qu'un artefact agalanthéen pour vous indiquer le chemin ? Enfin quand il fonctionne. Car présentement, ce n'est pas le cas.
Par conséquent, nous décidons de nous mettre en marche pour Sagrada. C'est le meilleur endroit pour trouver un mage agalanthéen susceptible de réparer le bidule, et qui sait si sur un malentendu, on ne pourrait pas retrouver l'épée de la luxure, épée perdue lors de l'invasion escarte.

- Sagrada - arrivée en ville
Mes compagnons sont déjà venus dans cette ville, et nous décidons de loger au même endroit que la fois précédente. Pour je ne sais quelle raison, le propriétaire semble réticent à nous relouer la maison.
Basant notre réflexion sur le fait que l'épée de la luxure devrait avoir une influence sur les lieux de débauches de la ville, nous obtenons le nom des 2 bordels principaux :
* "Les Lèvres de Jade" située dans la ville haute et réservé à une clientèle riche
* "Le temple des Sens" dans la ville basse, et est plus abordable au niveau tarif.
Nous apprenons également qu'actuellement, une personne fait tourner toutes les têtes à Sagrada : Farah bint Soufrate al-Jamila

- Sagrada - Journée 1
+ Avec Renaldus, nous partons à la recherche d'un savant agalanthéen qui pourrait réparé notre "boussole à épées". nous trouvons un marchand, vendeur de tablettes de son état, et chiromancien officiel. Il tombe en extase devant l'artefact. Il faut dire que celui-ci n'est plus fabriqué depuis au moins 2 000 ans. Nous lui laissons l'artefact à réparer (en prenant tout de même la précaution de prendre sa licence officielle en échange, histoire qu'il ne soit pas tenter de nous la subtiliser).
Nous profitons des bonnes dispositions du savant agalanthéen pour essayer d'avoir des informations sur l'invasion escarte : les mieux placés pour en parler sont sans doute les Shiradim
+ Repas dans une auberge agalanthéenne avec Renaldus : notre amie marchande sera sans doute contente d'apprendre que la reconstruction du temple Zamoul, détruit par des pilleurs Saabi il y a peu, se poursuit bien.
+ Pour pouvoir entrer dans le bordel de la ville haute, il va nous falloir des vêtements adaptés à cet endroit. Chaque membres du groupe part donc se faire confectionner une tenue pour l'occasion. Chez les agalanthéens pour Srifos et Renaldus, chez un tailleurs saabi pour Assaï et moi-même.

- Sagrada - Soirée 1
En attendant que nos vêtements d'apparat soit prêt, nous décidons de ne pas perdre de temps et de nous rendre au Temple des Sens, bordel de la ville basse. Il s'agit d'un ancien temple agalanthéen situé sur une île et un tout petit peu reconverti. Il y a en fait plusieurs étages dans ce gigantesque lieu de perdition et l'on peut s'y adonner à tous les vices possibles : le jeux, le sexe, etc... Il semble cependant que plus on monte dans les étages, plus la qualité des prestations s'améliore. L'ensemble semble être sous la direction d'un certain Djaïd ib Azziz Abd-el-Saïf qui dirige le plus beau bordel du temple, bien entendu situé au dernier étage.
+ Comme par hasard, des gardes nous interceptent pacifiquement : Djaïd veut nous voir. Plus précisément, il souhaite s'entretenir avec Renatus et Assaï. Il semble qu'il y ai eu beaucoup de troubles lors du dernier passage de mes compagnons, et le trouble, ce n'est pas bon pour les affaires. Sous couvert de menaces voilées, il veut notre engagement qu'il n'y aura pas d'esclandre lors de notre séjour dans la cité.
+ Après cette rencontre, le groupe vaque à divers occupations :
. Renatus et Srifos occupent une alcove du bordel de Djaïd. ils essaient de savoir si des parties fines se déroulent en dehors du Temple des Sens. Aucune fille ne répond à leur interrogation sauf une qui leur dit "Pas ici".
. Assaï tente de gagner le gros lot dans une maison de jeu, mais échoue de peu. La malchance selon moi, mais Assaï en est moins sûr.
. Pour ma part, vu le niveau de mes finances, j'économise et me contente d'accompagner Assaï
+ En sortant du Temple des Sens, nous entendons des cris. Il s'agit de 2 gardes tentant de faire entrer de force une Vierge de Papier, une prostituée sacrée. Espérant glaner quelque renseignement sur la vie nocturne de Sagrada, Srifos et moi décidons d'intervenir, moi en tentant de négocier, et Srifos en imposant sa présence physique. La raison du plus fort étant bien souvent la meilleure, c'est lui qui "convainc" les gardes de relâcher la fille. Assaï achève d'humilier les 2 gardes en leur lançant quelques piécettes "pour la peine". Autant pour le fait de ne pas faire d'esclandre.
Nous y gagnons tout de même des informations : il y a plus de chance d'obtenir des renseignements sur l'épée sacrée aux Lèvres de Jade dans la ville haute, et Farah est effectivement la coqueluches des nuits agalanthéennes. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis de plus en plus fasciné par cette Farah.
Nous repartons dormir dans notre demeure sauf Srifos qui se verra remercier par la vierge de papier pour son intervention (moyennant finance tout de même).
Dernière modification par Noizette le 13 juin 2017, 15:04, modifié 1 fois.
Noizette
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

13 juin 2017, 15:04

- Sagrada - Journée 2
Renaldus et moi-même nous rendons au palais agalanthéen . C'est le meilleur endroit pour rencontrer les Shiradim connaissant le passé de la ville. Pour entrer dans le palais, nous prétextons que Renaldus veut lancer une école d'auriges, et que nous venons rechercher des finances.
Nous apprenons que l'épée était considérée comme une relique sacrée, gardée dans le temple d'Enki. Mais quand les escartes sont arrivés, des pillards l'ont volée. La dernière fois qu'elle a été vue, elle était portée par un noble escarte. Cependant l'épée lui a été volée. Elle serait toujours en ville. Nous obtenons le nom de l'ancien détenteur de l'épée : Alejandro Juarez.
L'après-midi, nous récupérons nos tenues pour notre visite du soir aux Lèvres de Jade.

- Sagrada - Soirée 2
Les Lèvres de Jade est le bordel de la ville haute, d'inspiration asiatique. Comme nous sommes 4, pour plus d'efficacité, nous décidons de faire 4 groupes de 1.
* Assaï reste dehors et détrousse tout ce qui semble riches et se dirigeant vers le bordel. A force de jouer avec le feu, il finit par se faire prendre, mais il parvient à s'échapper
* Srifos est également resté dehors. Il observe les agissements d'Assaï mais pour ne pas se faire repérer, se garde bien d'intervenir lorsque celui-ci est en difficulté.
* Renatus trouve une fille à son goût dans le bordel et passe la soirée avec elle
*Pour ma part, je ne trouve personne, mes pensées étant tournées entièrement vers la mystérieuse Farah (qui bien sûr n'est pas présente dans ce bordel)
Bilan de la soirée : nous n'avons rien apprit de plus

- Sagrada - Journée 3
Nous décidons de rendre visite au savant agalanthéen pour voir où il en est de la réparation de l'artéfact, ainsi qu'à Alejandro Juarez
* Nous découvrons que le savant est obnubilé à tel point par l'étude de l'artéfact qu'il en oublie même de dormir. Nous parvenons à le convaincre qu'un peu de sommeil lui permettrait d'être plus efficient dans ses recherches (et accessoirement dans la réparation de l'artéfact)
* Alejandro Juarez est un noble escarte vieillissant. Il n'acceptera de nous parler de l'épée sacrée que si nous lui rendons un service auparavant : sa famille a été provoquée en duel par une famille rivale, et il aurait besoin d'un champion. Le nom de son rival est Charles d'Estang. Srifos accepte d'être le champion de la famille Juarez
* Renaldus reçoit une invitation pour une orgie le soir même. Elle provient de nobles agalanthéen qu'il a rencontré au palais la veille. En temps que son "comptable" je suis également invité également. Peut-être vais-je y voir Farah..

Sagrada - Soirée 3
Pendant que Srifos, prudent, se repose pour son combat du lendemain, Renatus et moi allons à la soirée. Sur place, nous retrouvons la prostituée qui ne voulait pas parler tant qu'elle était au Temple des Sens. Nous apprenons donc que se déroulent effectivement des parties fines en dehors des 2 bordels :
1 noble organise des parties très huppées où les gens invités sont triés sur le volet
3-4 nobles organisent des soirées où ils dépensent sans compter.
Safrah participe parfois à ces parties, mais elle y est discrète
D'ailleurs, une soirée doit être organisée par Nico Suarez de Batavda. Farah ne pourra pas la manquer.

Sagrada - Journée 4
Ce matin a lieu le duel de Srifos avec le champion de Charles d'Estang. Malgré la roublardise dudit champion, Srifos le découpe façon part de quiche, et remporte donc le duel. En conséquence, une soirée est organisée ce soir chez Alejandro Juarez afin de fêter dignement cette victoire. Farah sera présente.
Une petite surveillance de la demeure de Farah nous montre la présence de gardes un peu trop nombreux. De plus en plus nous avons le sentiment qu'elle a des choses à cacher, et que des indices sur la piste de l'épée sacrée disparu pourrait bien être chez elle. Nous décidons donc que pendant que nous occuperons la dame lors de la soirée à venir, Assaï s'infiltrera chez elle pour voir si il trouve quelque chose

Sagrada - Soirée 4
La soirée chez Alejandro se déroule dans un ambiance calme presque feutrée. Même si des accompagnatrices sont présentes, elles sont là pour le plaisir des yeux, non celui des sens.
Farah est effectivement présente. Aux demandes empressées des nobles présents, Farah répond par un flirt léger, presque distant. Nous parvenons à nous faire présenter.
La soirée se déroule sans accroc, bien trop calmement pour certains nobles qui incitent Farah à se joindre à d'autres activités plus ... divertissantes. Mais elles ne suit pas les premiers qui partent.
Pendant ce temps-là à la demeure de Farah : Assaï tente d'entrer, mais ne peut que constater l'impénétrabilité de la demeure. il fait donc une retraite prudente et nous rejoints chez Alejandro Juarez.
La soirée chez Alejandro semble tirer à sa fin, et à notre grande surprise, Farah invite quelques nobles ainsi que Strifos, Renaldus et moi à finir la nuit chez elles de manière beaucoup plus ... active. Assaï parvient à se joindre à nous.
Chez Farah, c'est l'orgie la plus totale. Nous comprenons que le noble qui organise des parties fines très select, c'est elle.
Srifos se retrouve vite entourée de quelques accortes donzelles. Je pense qu'il ne faudra pas compter sur lui cette nuit.
Apparemment, le fait de ne m'intéresser à aucune autre courtisane qu'elle ne paie pas puisque Farah invite Renaldus et Assaï à partager sa nuit. Je pense qu'il ne faudra pas non plus compter sur eux pour glaner des indices.
Je profite de la diversion que provoque le départ de Farah et de mes compagnons pour explorer un peu son manoir. Je finis par découvrir une sorte de salle des trésors, mais elle est bien entendu fermée à clé, et il y a encore trop de passage pour tenter de m'introduire. Je reviens donc là où se déroule l'orgie. Je fais semblant de boire, refusant toute présence féminine à mes côtés.
Peu avant l'aube, alors que les convives sont ivres de vin et du corps de leurs amants/amantes, je reviens à la salle des trésors et parviens cette fois à y pénétrer. Sont présents dans cette pièces de nombreux objets de grande valeur. Mais je suis irrésistiblement attiré par une épée. Je m'en empare et je parviens à m'enfuir de chez Farah et regagne notre logis.
Mais cette épée est l'épée de la luxure, et mes 4 soirs d'abstinence au cours des 4 dernières soirées d'orgie pèse lourdement sur moi ... et sur mon abzul à cause du lien symbiotique qui nous unie. Je décide donc de m'éloigner de la ville avant de ne céder aux appels incessants qui me tourmentent. Même si prouver que je ne suis pas un eunuque comme certains commencent à le penser est extrêmement tentant, je préfère éviter les recherches que devraient mener Farah pour retrouver l'épée.


Bref, je possède maintenant l'épée sacrée perdue de Sagrada
Noizette
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

13 juin 2017, 15:09

PS message particulier pour dame Adaia

Il semblerait que mon compagnon à 4 pattes ne se soit fixé pour mission d'augmenter considérablement la population abzule de cette partie du continent. Comme je sais que vous menez de nombreuses affaires dans le secteur, il serait sans doute sage de prévoir dans un avenir proche d'augmenter le nombre de chameaux par caravane car il risque d'y avoir des pertes importantes.
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

01 nov. 2017, 14:58

3 mois ....

3 mois ....(ndlr : au moins, vu qu'il y avait aussi le voyage de la dernière séance)

3 mois qu'on avance dans le désert et où la seule présence féminine que je perçoit se révèle n'être qu'un mirage de plus. J'ai hâte d'arriver à Mâdina al-Muhît et alors, comme disent les marins de Sagrada : "tant pis pour celle qui y passera la première, je lui démonte la passerelle, la cale, la dunette arrière"

Soudain, des bruits d'épées devant nous. Une femme est attaquée par des bandits. Je fonce me mettre en protection de cette déesse, de cette princesse, de cette femme perdue dans le désert du milieu de sa caravane et des 50 bandits les attaquant. Enfin, beaucoup moins maintenant, vu que Renaldus a chargé en même temps que moi (il a dû voir quelque chose à manger), et que Dame Nature nous a aidés en envoyant une tornade sévir dans les rangs adverses.

Pendant qu'un golem de sable passant visiblement par là ne fasse fuir les bandits restant et qu'Assai ne s'occupe de leur chef, je n'ai d'yeux que pour ELLE. elle est enfin là, elle est belle. Elle est .. fabuleuse !!!

Bref, la caravane est sauvée et nous décidons d'accompagner celle-ci pour la protéger, vu qu'il n'y plus qu'un seul garde survivant.
Au soir, nous faisons connaissance, autour d'un petit repas à base de chèvre et de miel, de ma Reine, ainsi que d'un religieux accompagnant la caravane : Seif al-Mansour. Au soir, en récompense de ma bravoure pour la protéger, ma dame s'occupe de mon repos. Je crois que je dormirai un autre jour.

La suite du voyage se passe sans encombre et nous parvenons à Mâdina al-Muhît. Là, le homme cherche frénétiquement une caisse contenant un coffre précieux. Il s'agit de Meddhi ibn-Youssef, chef de la Guilde du Commerce, et ledit coffre contenait un livre extrêmement précieux. Dans nos souvenir, effectivement, un bandit s'est enfui avec 3 chameaux au début de la bataille.

Après la vente du reste des marchandises, Assaï, Renaldu et moi acceptons de nous mettre en quête du livre manquant, et nous sommes accompagnés par Seif et la prêtresse al-Mimoun, car la Reine de mes nuits est une Vierge de Papier. Elle me fait comprendre que je dois désormais payer pour pouvoir partager ses nuits. Plutôt que de payer en monnaie sonnante et trébuchante, j'échange l'épée que nous avions récupérer chez les soit-disant Dragons contre 10 nuits. Il faudra que je pense à lui dire que cette épée est précieuse et sacrée, et fait partie de notre quête.

Par je ne sais quel miracle, le chef des bandits est encore vivant après sa rencontre avec Assaï. Moyennant la vie sauve, nous parvenons à le convaincre de nous amener à son camp et nous le libérerons lorsque nous aurons retrouvé la caisse et sa précieuse cargaison.

Pendant plusieurs jours, nous pistons le bandit qui a été rejoint par quelques survivants de l'attaque, et qui fonce maintenant vers l'ouest dans le désert. Nous finissons par être sur leurs talons lorsque nous croisons une gigantesque caravane de 3 à 4000 chameaux.

Les gardes de la caravane sont sur leur garde : il semblerait qu'un bandit écume la région et n'hésite pas à s'attaquer aux convois, même extrêmement bien gardés. Renaldus connaissant le chef de la caravane, nous apprenons que ce chef des bandits se fait appeler le "Bandit Blanc", qu'il aurait attaqué récemment une caravane de 300 chameaux, et qu'il aurait pour refuge un "château" situé plus à l'ouest. Nous apprenons également que c'est dans cette direction qu'on poursuivit les voleurs de la caisse. J'en profite pour m'acheter une esclave. Mon crédit de nuits avec la Vierge de Papier est épuisé, et cela me reviendra moins cher pour égayer mes nuits

Le lendemain, nous finissons de traquer le petit groupe de bandits ayant volé la caisse, et après un combat très serré (euh ... en fait, non), nous apprenons que le coffre précieux content le Livre a été vendu à un joaillier de la caravane.

Nous retournons donc à la caravane qui a bien entendu été attaquée en notre absence par 150 à 200 bandits. Et bien entendu, le joaillier a trouvé le moyen de perdre la vie au cours de cette attaque. Et bien entendu, le coffrea disparu, probablement emmené par les bandits.

Nous décidons de nous déguiser en prenant les vêtements des rares bandits qui sont morts lors de l'assaut, et de tenter d'infiltrer la bande du "Bandit Blanc" en faisant passer la prêtresse al-Mimoun comme une prisonnière et un cadeau princier pour le chef des voleurs.

La ruse fonctionne et nous parvenons à installer notre tente à l'arrière de celle du chef. Pendant ce temps, la Vierge de Papier intéressant fortement le chef, celui-ci la convie dans sa tente. Elle-ci contient un immense bric-à-brac de richesse, dont le fameux coffre contenant le livre précieux. La prêtresse al-Mimoun parvient à voir ce que contient le livre. Son titre est कामसूत्र, ce qui dans son pays d'origine peut se traduire par "les aphorismes du plaisir", c'est à dire Kāmasūtra
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

06 nov. 2017, 21:11

Les chroniques de l'homme en noir
Extrait du journal d'Assai Ibn Rachid Abd-al-Hassan

Chapitre XII



Notre infiltration dans le camps de bandit réussi , le plus dure rester encore à faire car comment s'emparer des possessions du Bandit Blanc, du livre et de son épée tout en sauvant notre vierge prêtresse de petite vertue qui fut empoisonnée?Démasquer un traître et empoisonneur ainsi que participer à une course d'Absouls fut décider dans un premier temps afin de gagner la confiance des bandits.Nous eûmes alors un bref aperçut de leur barbarie.Il nous fallait autre chose pour me laisser le temps d’inspecté et de m’emparai des objets convoités une diversion….Notre ami Srifos fut alors tout choisi pour déclencher la bagarre du siècle pour une simple histoire de jeu . J’eus alors juste le temps de m’emparai du livre et de le cacher sous terre prés du cadavre du traître…. L'épée de l'envie étant malheureusement toujours aux cotés du Bandit Blanc quand à notre amie malgré la violence du poison le fait qu'elle n'était pas morte sur coup et la nature du poison me donner l'espoir que malgré tout elle allait survivre.

Le lendemain matin les bandits décidèrent de lever le camps.Nous partîmes alors avec eux vers les montagnes ou ils avaient un fort.Là-bas le soir venu un somptueux banquet nous attendait ce qui n'était pas pour déplaire à mes compagnons moi je m'y à profit le banquet pour repéré les lieux et les allées et venus des gardes.
Après avoir pris nos précautions (empoisonnement de tout les cavaliers) nous nous décidâmes de passer à l’offensive...accompagné d'Abdoul Chaffar nous commençâmes à escalader tendit que Srifos et Renaldus restèrent en retrait pour couvrir nos arrières.Malheureusement pour moi je ne fut pas dans un très bon jour puisque je faillit tomber à plusieurs reprise mais Abdul Chaffar me rattrapa in extremis.Mon entrer dans la chambre du Bandit Blanc ne fut pas beaucoup mieux puisque par les cris d'une Puterelle endormis sur le sol je le réveillât.Une rude bataille à coup de lampe à huile de tringle de dague et d'épée s'engagea….Après de nombreux assauts nous eurent raison du trapu.Mais le répit fut de courte durée puisque 30 bandits nous rattrapèrent pendant notre fuite accompagné bien sure de leur second…. Srifos et Rénaldus s'en occupèrent avec une violence qui défit l'entendement il fut transpercer par un trident et découper à la hache….Quand à moi et Abdoul Chaffar la colère nous gagna et nous entreprirent une folie meurtrière….

Quand nous vîmes que des corps à nos pieds il fut jugé inutile de s'attarder davantage, nous nous décidèrent d' accélérer le pas pour partir de ce charnier et de ce fort maudit….
Tout cela ne fut pas en vain puisque mon ami Abdoul avait trouver l'objet de notre quête...l'épée de la convoitise….
J'ai perdu concrètement mais pas moralement, je vaincrai la prochaine fois ....

car perdre la bataille, perdre la guerre, ce n'est pas une défaite, si on ne se perd pas soi même.
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

01 déc. 2017, 17:04

Les chroniques de l'homme en noir 
Extrait du journal d'Assai Ibn Rachid Abd-al-Hassan

Chapitre XIII


Les six autres épées en poche nous nous dirigeâmes vers Jargath ou se radin de prêtre nous remis enfin la dernière épée à contre cœur à la vue des six autres….

Nous partîmes alors vers la cité des Djins toutes nos épées en poche quand nous arrivâmes un Djin se trouvant aux centre de la pièce nous demanda alors de les déposé dans les différents réceptacles qui l'entourait répartit dans toute la salle la cérémonie commença je déposa mon épée à contre cœur car je présenté un ennuis voir un danger imminent.La cérémonie fut comme je le pensé un échec car le Djin fut détruit et les épées commencèrent à émettrent de la lumière et des sons étrange.Je tenta alors le tout pour le tout prendre mon épée….Un rêve que j’espère être prémonitoire m'apparut alors je me voyait sur un trône tous à mes pied Dragons, Djins et mes compagnons ravie à mes côtés même les dieux nous enviés….Je repris peu de temps après mes esprit une forte brûlure à la mains et constata avec effrois que les épées avaient fusionnées en une seules épées maléfiques et maudite…..


Mes compagnons d'infortunes et moi même cherchions alors un moyen de contenir le mal et transporter l'épée maléfique nous trouvâmes alors une sorte de petit chariot pour la transporter mais la question se posa rapidement ou l'emmener? Il me vint alors une idée le village cacher de nos pères les dragons….

Heureusement celui ci nous vint en aide et enveloppa notre fardeau et le scéla le rendant moins maléfique et supportable.
J'ai perdu concrètement mais pas moralement, je vaincrai la prochaine fois ....

car perdre la bataille, perdre la guerre, ce n'est pas une défaite, si on ne se perd pas soi même.
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

03 janv. 2018, 22:57

Éditer le message Répondre en citant
Message Re: Les Héritiers des Dragons
Adaia ibn Yucef Abd-al-Salif et Mohamad ibn Mammûd Abd-al-Tarek ont disparu. c'est vaguement embêtant pour Muhamad qui est le représentant de la déesse Daounia qui monte en puissance en ce moment, mais beaucoup plus pour Dame Adaia qui est membre du conseil du roi

Rénaldus (porteur de l'épée reconstituée), Nahel, Seif et moi-même partons donc pour Capharnaüm, dernier endroit où ils ont été aperçus. A nous se joint Azziz ibn (A compléter, je n'ai pas pris le nom en entier dans mes notes) précepteur des impôts du roi. Il sera chargé de surveiller nos dépenses car il semblerait que notre dernière expédition ait légèrement dérapé au niveau financier.

Arrivés sur place nous cherchons des renseignements. Adaya et Muhamad sont allés à la recherche d'un ancien temple et ne sont pas reparus. Ils étaient partis avec une caravane de 30 chameaux et une cinquantaine de personnes.
Nous tentons de nous mêler à la vie capharnaumienne pour avoir des renseignements supplémentaires :
- Après avoir échapper aux rythmes quelques peu ... ensorcellants d'une danseuse nommée Bellassima bint al Marita, nous apprenons par un vieux fou que celui-ci a participé à une expédition vers ce vieux temple il y a une vingtaine d'années et qu'il est le seul à en être revenu. La troupe de mercenaires a été prise dans un tempête de sable. Au matin, il était le seul survivant, ses collègues ayant été massacrés par des démons noirs du désert qui ont promis qu'ils reviendraient raser cette ville de mécrants qu'est Capharnaum. Depuis il tente en vain de prévenir la population de la menace à venir.
- un marchand, Amar ibn Ishtar ibn Youssef abd el Salif, nous apprend que sa caravane a été attaquée par des hommes en noir et que sa fille a disparu lors de l'attaque. Depuis il la recherche. elle s'appelle Sarah et porte la marque des dragons. Elle a une dizaine d'années.
- Nous faisons aussi la connaissance de Aduma ibn Khalil, un guide un peu trop porté sur la boisson et le jeu. Comme nous l'avons aidé à récupérer son abzul, il accepte de nous guider vers l'est dans la direction supposée de l'ancien temple.
-Seif devient également le successeur d'un ermite en fin de vie qui lui confie les légendaires pierres du destin Urim et Turim

Après nous être un peu perdu dans le désert (mais pour une fois ce n'est pas de ma faute, nous étions victimes d'un sort), une tempête de sable nous force à nous réfugier dans un canyon. Nous devons escalader la paroi pour nous sortir de là, mais les abzuls ne peuvent pas nous suivre. Aduma décide donc de rester ainsi que Amar qui nous avaient accompagnés.

Au loin apparaît enfin un temple qui paraît gigantesque. Mais avant d'y arriver nous croisons 6 hommes en trains de prendre le thé. Ils n'ont croisés aucun étrangers depuis 5 ans au moins. Ils parlent entre eux un dialecte très anciens et des marques sur leurs visages les apparentent aux démons du désert des contes, ceux-ci ayant mauvaises réputations. Ils repartent tranquillement une fois leur thé terminé.

Arrivé au temple nous voyons devant un homme qui nous dit que nous ne sommes pas dignes d'y pénétrer et nous enjoint de faire demi-tour. Nous tentons de forcer le passage mais le combat s'annonce très inégal jusqu'à l'intervention d'une Saabi qui nous dit que notre destin n'est pas d'affronter le gardien et qu'elle va le retenir.

Une fois à l'intérieur, nous descendons dans les abysses sous le temple en déjouant au passage tout une série de pièges. Nous finissons par arriver à un temple entouré de boue noirâtre. Une femme apparaît, très séduisante et pleine d'assurance, les yeux dorés et les cheveux blancs.
Elle nous dit qu'elle n'est qu'un vague échos du passé. Le temple contient le tombeau d'un homme victime de la jalousie des Dieu.
Nous parvenons à ouvrir le tombeau qui lui aussi est rempli de boue noirâtre. Malencontreusement l'épée tombe dans la boue et une épaisse fumée sombre s'élève de celui-ci. Elle prend la forme d'un homme qui devient de plus en plus immense . il crie sa joie d'être enfin libre et qu'il a retrouvé sa puissance puis il prend son envol. En emportant l'épée. Il semblerait que par inadvertance on ai réveillé Sosie, le chef du mal qui avait été emprisonné là par Jason.

Comme le temple est en voit d'effondrement, nous tentons de nous en échapper. La Saabi qui nous en avait facilité l'entrée vient à notre secours pour nous en sortir mais reste ensuite ensevelie dans le temple.

Bref, au delà du problème secondaire d'avoir libéré un démon majeur sur le monde, nous n'avons trouvé aucune trace d'Adaia ou de Mohamad.
Sammy
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Re: Qars Jibreen, la Cité des Djinns

23 mars 2018, 16:19

Aïe Aïe Aïe, j'ai un tout petit peu oublié le résumé de la session précédente.

en l'attendant avant la séance de ce soir, voila déjà un rapide résumé de ce qu'il s'est passé avant.

Sosie libéré, une vague de sécheresse s’abattit sur les contrées déjà bien arides de Capharnaüm.

Grâce à Bellisima et ses hommes, les rescapés du temple ont pu être secouru. La petites troupes des héritiers repris des forces auprès d'eux le temps d'une danse puis repartis sur la route dans le désert.

Grâce à la bonne parole des plus religieux d'entre eux, la soif ne se faisait pas trop ressentir malgré la température démoniaque qui ne cessait d'augmenter. Tout le monde n'avait pas cette chance. Nos héros, plein de bravoures comme à leur habitude, n'hésitèrent pas instant pour marchander leur compétence à faire apparaître de l'eau à une caravane au bord de la déroute. La vie de ces marchands et autres voyageurs ne fut pas pour autant épargner par la Faune locale. Un serpent géant tua les occupants de la caravane, n’épargnant qu’une vieille femme, Nabila .

Après une courte cérémonie pour célébrer le retour temporaire à la vie de Renaldus, nos héros ont un nouveau but, sauver les neveux de Nabila des esclavagistes . Cette vieille femme à l’air hagard et malgré une amnésie quelque peu sélective, faisait preuve d'un sang froid à tout épreuve.

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