Récit, journaux et autres Anecdotes de Théa

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Eöl
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Récit, journaux et autres Anecdotes de Théa

23 oct. 2020, 22:48

Ce sujet est pour permettre à tous les aventuriers de poster leurs retour et vision de leurs aventures, en plus des résumés officiels que j'essaierais de mettre en ligne à la fin de chaque session, sous la forme de récit que pourrait faire un vieil homme dans une taverne dans l'espoir d'obtenir un verre et un repas chaud, ou bien de lettre d'un prince à un autre, enfin suivant ce qui me passe par la tête quoi ! Donc n'hésitez pas à y mettre quelques messages entre les différentes sessions, afin de rendre plus vivant ce résumé...

Bon je suis pas trop satisfait de ce premier jet, donc je le réécrirais surement et surtout je le compléterais, mais je n'ai eu les dernières infos que ce soir, et je n'ai pas le temps de tout fignoler tout en finissant d'écrire le scénario de vos aventures pour dimanche, donc faîtes avec pour démarrer ;-)


Introduction

Que faut-il pour lancer un groupe ?

Parfois presque rien, juste une étincelle jailli des profondeurs de la destinée… Une personne au bon endroit au bon moment, un regard qui s’attarde, un sourire qui perce la grisaille avant de s’évanouir dans une foule bariolé…ou pas. Car au pays des sorcières de la Sorte, qui peut croire au hasard et aux coïncidences, tant les fils du destin sont manipulés pour porter un homme aux nues avant de le faire retomber dans l’oubli le lendemain.

Et ce matin là, Valentin de la Rocheclaire s’est retrouvé pris comme une mouche dans la toile d’araignée tissé par le destin. Alors que jusqu’à présent ses tractations commerciales s’étaient déroulé de la meilleure des façons, il s’est retrouvé pris dans la tourmente. D’abord une roue de son carrosse qui casse pendant le trajet, puis une mégère qui déverse le contenu de son pot de chambre sur ces chausses, et le voilà en retard pour son rendez-vous avez le Signore Falisci, le maître de la ville… Econduit à la porte, et contraint de se représenter le lendemain, il croyait avoir vécu le pire, mais la rencontre d’une charmante demoiselle allait chambouler tout son programme.
Cette dernière Anna-Maria, se révéla être poursuivi par un groupe de malandrin, que Valentin et Angus Mc Kintosch s’empressèrent de mettre en déroute. Enfin Anna-Maria, il ne le saurait que plus tard, car le temps de finir le combat est la jeune fille s’était évanouie dans la foule. Pire les hommes qu’ils avaient si superbement rossé, s’avérèrent porté sur leur casaque la couleur des Villanova, l’un des princes-marchands les plus respectable et les plus craints de la péninsule. Décidant de mettre un peu de distance avec les Vodacce suite à ce petit incident, nos deux amis se dirigèrent vers le bateau de leur ami *Loïc*, afin de se faire oublier jusqu’au lendemain, espérant que personne ne ferait le lien entre eux et l’incident du marché…

Las, sur place les attendaient une nouvelle surprise, un Père Castillan, Fernando de Guara Y Aguilar, accompagné de leur mystérieuse inconnue. Et sur le quai, un groupe de garde véhément, portant les couleurs des Villanova… Chevaleresque comme toujours nos amis interdirent l’accès à bord à ces malandrins, pour prendre le temps d’écouter le récit de la jeune femme. Cette dernière fuyait la famille Villanova depuis la découverte de sa malédiction, et venait malheureusement d’être découverte alors qu’elle se cachait dans un couvent tout proche.

Quelle malédiction ? Mais voyons, celle de toute femme en Vodacce, la découverte du don de la Sorte, magie mystérieuse et à la puissance inégalé, source de pouvoir et de tristesse pour les femmes de ce pays. Car bien que réservé aux femmes, ce pouvoir était jalousement contrôlé par les hommes, et la noblesse de Vodacce par le biais d’un carcan social lourd, faisant de ces dernières les esclaves de ce pouvoir plus que les maîtresses. Anna-Maria avait donc cherché son salut dans la fuite, avant de se faire rattraper dans sa dernière cachette au couvent Sainte-Dorothée Suppliciée. Tout juste la mère supérieure Teofila di Tamamello a-t’elle réussi à lui faire quitter le couvent grâce à un frère Castillan, Fernando. Et c’est lors de la fuite de ces derniers que nos amis avaient croisé son chemin. Et pour tous dans le bateau il était bien entendu hors de question de céder la jeune fille aux hommes de mains du puissant Villanova.

Le récit de cette fuite occuperait une saga a elle toute seule, mais ce qu’il faut retenir de ce coup du sort, c’est le résultat. 5 personnes, qui hier encore ne se connaissaient pas, se retrouvèrent d’un coup lié, et lancé dans une des aventures les plus palpitantes que n’ai jamais connu Théa ! Car les conséquences ne se firent pas attendre, entre bateau maudit, trésors envolés et proches en détresse, la colère de Villanova forcent encore une fois nos aventuriers à remettre les pieds en Voddacce.

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