Petit résumé pour ceux que ça intéresse :
Je me nomme Fenria, jeune adepte de 22 ans. Ma peau bleutée montre que je passe le plus clair de mon temps dans mes livres ou l'espace et non sur une plage à profiter des rayons du soleil. D’ailleurs je me cache de ce dernier derrière une cape qui ne laisse apparaitre que mes yeux (lorsque je ne porte pas mes lunettes de soleil).
C'est à bord du vaisseaux cargo qui va sur Iocanthus pour notre rendez-vous avec Aristarchus que je retrouve mes compagnons :
Venris, un Psyker en déambulateur
Dominique Worthwool CMLVII, un Ecclésiaste mal-chanceux
Mithrus 1.1, un Technoprêtre qui fait des expériences bizarres avec des rats
Alaric, un Garde Impérial qui peux faire une partie de raquette-bal avec ta tête en utilisant juste ses mains
Ajoujou « La mort qui rigole », un Assassin qui a une banane à la place de la bouche
Flavion, un Garde Impérial qui démarre au quart de tour
Nous passons donc les 2 jours de voyages à travers le warp, dans la cale du vaisseaux. Pour ma part, je n'ai pas vu le temps passer, le nez dans mes bouquins, j'ai été surprise lorsque Sebek, le cantinier, nous a annoncé qu'on arrivait à Iocanthus.
La sortie du warp est toujours un grand moment de bonheur pour moi ( c'est mieux que Space Mountain) mais pour les autres s'est une autre histoire. Je dois avoué qu'ils s'en sont plutôt bien sorti, mis à par pour Venris qui a redécoré le vaisseaux avec son repas de midi et Mithrus qui avait pris des calmants.
C'est donc avec un petit pincement au cœur que je quitte le vaisseaux avec mes compagnons et nous nous retrouvons dans le spatioport de Iocanthus où un personnage munis de petites ailes mécaniques nous accueil et ce présente comme notre guide.
En sortant du spatioport, nous croisons un homme escorté de deux gardes qui nous pose des questions sur notre mission. Il s'agit de Kerred Smyk, envoyé du consulat et d'après lui nous sommes bien trop nombreux pour ce qui ce passe ici. Le consulat lui même ne comprend pas pourquoi Iocanthus a fait appel à l'Inquisition.
Mais en quoi ça lui regarde ! Il est pas net ce type !
Après notre petit interaction, notre guide nous embarque à travers la ville bondé de monde et nous arrivons au réfectoire qui ce trouve à côté de la maison des Comptes de l'Administratum qui gère la trésorerie de la ville. C'est aussi ici que ce trouve Madame le maire : Sabetha Kosloff. Mais il nous est impossible d'y entrer.
Le réfectoire est un grand bloc de métal noir et n'est pas aux normes d'hygiène pour certains de mes compagnons. Après s’être restauré, ces dernier décident d'aller explorer la ville. De mon côté je reste au réfectoire, cette ville ne me plait pas, je n'y suis pas à l'aise et puis il y a trop de monde pour moi. J'en profite pour interroger le patron sur les évènements qui se sont produits à la Cathédrale de Lueur d'Espoir. D'après lui ce serait soit le chaos, soit quelqu'un opposé à cette construction. En gros, je n'ai rien appris de plus !
De retour au réfectoire, mes compagnons me racontent qu'ils se sont fait attaqué par un groupe anti-inquisition. Je ne sais rien de plus sur leur mésaventure.
Nous nous mettons donc en route pour aller à notre rendez-vous.
Aristarchus est un devin du même Inquisitoire que nous.
Nous le retrouvons dans un autre gros bloc avec l'Aigle Impérial au dessus de la porte.
Aristarchus nous mènera à Lueur d'Espoir le lendemain matin.
Il m'apprend qu'il est le descendent de Saint Drusus qui fût tué à l'emplacement de la Cathédrale, construite en son honneur, alors qu'il combattait le Démon Tsyiak (appelé aussi « Le Père Corbeau » ou « Le Danseur du Seuil »). Le démon fût repoussé dans le warp par Saint Drusus lui-même juste avant de mourir. Son corps fût récupéré par l'Empire. On ne sait pas aujourd'hui où il se trouve.
Au petit matin, nous partons pour Lueur d'Espoir. A la sortie de la ville, le paysage est désolent et sinistre, des cadavres de voitures et des squelettes jonchent le sol. Il nous faut 2 jours pour atteindre notre destination. Nous établissons notre campement à la tombé de la nuit. Pendant le premiers tour de garde, Alaric aperçois une forme humaine qui s'approche de nous. Il me fait part immédiatement de sa vision, et en effet, une silhouette c'est arrête à quelques pas de nous, ne s'approchant pas plus de la lueur du feu de camp. Je décide de faire le premier pas et m'avance. C'est alors que je découvre avec stupeur un corps mort en décomposition debout devant moi. Mais ce mort ne bouge pas, il reste là, debout. Je ramasse une buche et le pousse avec, l'homme tombe à terre et reste là, couché, mort, comme s'il ne s'était jamais levé.
Nous établissons un nouveau campement un peu plus loin, de peur que d'autres mort nous rendent une petite visite dans la nuit. Même si pour moi, ils sont inoffensifs.
Le reste de la nuit ce passe plutôt bien, même si certains ont entendu des voies dans les airs : « les voies des esprits » selon Ajoujou.
Le lendemain, très tôt, Ajoujou est parti faire son footing. A son retour, il nous a raconté qu'il avait trouvé les fameuses fleurs de Feu Follet. Aristarchus m'apprend que ses fleurs ne poussent que sur les corps des hommes morts au combat.
Nous reprenons notre route, sur le chemin, nous apercevons une silhouette bleue en haut d'une colline. Venris sent des dérangements dans le warp à cet endroit, et donc par conséquence, nous nous y rendons.
Arrivée au sommet, avec difficulté pour certain, la silhouette a disparu et à la place une plaque représentant un oiseau de proie (faucon), rapace de la Sainte Terra, tenant dans ses serres un crâne noirci = symbole du soleil.
C'est une plaque commémorative en l'honneur du 2ème corps d'armée du Général Saint Drusus.
_ « TRÔNE », Aristarchus s'incline devant ce monument et sort son Tarot. Il reste absorbé par la carte qu'il a tiré, et lorsque je lui demande ce que représente cette carte, il me répond : « mauvais présage ». Comme si j'étais pas au courant qu'on était dans la <BIP> !!!!!!
Arrivée en fin de journée à Lueur d'Espoir, le frère Lamark nous accueil. Quand nous lui faisons part de nos visites nocturnes et des voies dans les airs il nous répond que c'est la montagne qui nous a joué des tours.
Un peu plus tard dans la nuit, alors que mes compagnons tentent d'entrer dans la Cathédrale, même si c'est interdit parce qu’elle n'est pas encore consacrée, j'aperçois au loin une de ces mystérieuses lueurs. Accompagnée d'Alaric, Flavion et deux gardes du camps, je me rend sur les lieux. Un feu a pris sur un tronc sec. C'est alors qu'un Exalide (créature à 4 pattes) nous attaque. Ses globes oculaires sont vide (ce qui n'a pas l'air de le gêné pour nous donner des coups de griffes) et il est parsemé de blessures. Au dessus de nos têtes tournent d 'énormes corbeaux, sans yeux eux aussi, qui semblent énervés et excités par ce qui ce passe en bas. Lorsque mes compagnons finissent de mettre à terre l'Hexalide (c'est pas avec mon bâton que je vais les aider au combat) et que nous tournons les tallons pour retourner au camp, les corbeau ce jettent sur la carcasse de la créature.
Je fait mon rapport auprès du frère Lamark qui m'explique que les corbeaux sont fréquent ici et à l'affut du moindre être vivant faible.
Lorsque je retourne à l'auberge de Lueur d'Espoir, je trouve Aristarchus en train de tirer ses cartes de Tarot. Il nous cache quelque chose cet homme !
Et voilà !