Vous m’Andee-rez tant !

Anges et démons cherchent planète riche en pépites d'humains.
Avatar de l’utilisateur
Celsiane
Tourneur de page du Necronomicon
Messages : 259
Inscription : 22 avr. 2014, 23:44

Vous m’Andee-rez tant !

28 mai 2014, 20:04

Je m’appelle Andee et je suis un ange de Novalis.

Cette histoire débute sur le toit terrasse de mon restaurant situé en plein Paris et aménagé en jardin privatif. Au-delà du fait que j’apprécie particulièrement le fait de pouvoir m’y prélasser « à ciel ouvert », j’aime l’ambiance douce et délicate qui se dégage de mon jardin : toutes ces plantes en pots qui tolèrent si courageusement la pollution ambiante sont mon refuge et un havre de paix que je n’accepte de partager qu’avec bien peu de gens –qu’ils soient humains ou anges...
Bien souvent, j’ai pensé aller vivre tranquille à la campagne mais en dépit de mon apparente oisiveté, j’ai tout de même un restaurant citadin à faire tourner. Et une boutique de luxe aussi. Un environnement somme toute bien pragmatique qui m’épargne d’avoir à vivre dans le besoin et m’autorise également bon nombre d’excès sans trop de modération.
N’empêche, j’avais vraiment touché le fond la dernière fois… Je fis la moue en y repensant : fumer des glaïeuls ne m’avait vraiment pas réussi ! Je savais que j’aurais dû m’en tenir aux hortensias… Le bon point c’est que j’avais pu rencontrer quelques-uns de mes homologues pendant ma convalescence en maison de repos : si les expérimentations « fumo-florales » étaient nettement moins courantes qu’à l’époque des hippies, on savait encore se retrouver (ou se perdre selon les points de vue…) à notre époque. L’inconvénient majeur, c’est que je m’étais rendue « hors course » pour bon nombre de missions sur ces derniers mois mais maintenant que ça allait mieux, je ne tarderai sans doute pas à être sollicitée à nouveau.

Tandis que je m’assoupissais doucement sur ma chaise longue, humant la fragrance suave des belles de nuit que le crépuscule avait éveillées quelques heures auparavant, j’entendis le « ping ! » caractéristique du cartouche de mission qui tombe sur les dalles en granit : sur le papier contenu à l’intérieur, l’inscription « Jean-Marie Cazeneuve - SD » était suivie d’une adresse et d’un numéro de téléphone qui m’étaient inconnus et pour cause : il était localisé à Lyon !
A peine étais-je redescendue dans mes appartements que mon téléphone se mit à sonner. Je décrochai :
- Andee ? paraît que t’es à nouveau opérationnelle et j’ai une mission qui vient de tomber… Rendez-vous au « Bar de Jésus » à l’aube ! Ah et fais-moi plaisir, mon chou : amène donc ton dernier catalogue, celui avec la nouvelle collection Kenzo !
Maria-Magdalena, un ange d’Emmanuel qui était à la fois une amie et une très bonne cliente de ma boutique de luxe, raccrocha avant même que je n’aie pu la saluer et encore moins lui annoncer que j’étais moi aussi appelée…

Quelques heures plus tard, un sirop de violette à la main, j’étais attablée dans un coin de « Chez Régis ». C’est fou comme les gens oubliaient facilement le vrai nom de l’établissement au profit de son illustre propriétaire…
Autour de la table, à mes côtés, une joyeuse troupe éclectique s’agitait. Il y avait là Maria-Magdalena qui, après avoir appelé Jean-Marie Cazeneuve le soldat de Dieu en se faisant passer pour le chef d’une équipe de dépannage électrique (!), avait pris rendez-vous avec ce dernier pour 17h30 le jour même. Elle était désormais occupée à se chamailler avec Penny Wise, l’adolesc-ange de Joseph, qui de toute évidence avait prévu de sécher l’école une fois de plus… En face de moi, Joël, ange de Laurent, proposait de gagner Lyon avec sa camionnette pour avoir un moyen de locomotion sur place tandis que Pépito, lanceur de flechettes professionnel et ange de Jean, soutenu par Gwen la policière ange d’Ange, appelait son contact à Interpol pour qu’il mette à notre disposition immédiate un… Concorde.
En suivi d’âpres négociations, le Concorde l’emporta sur la camionnette tandis qu’une question saugrenue s’imposait à nous : qu’allions-nous faire jusqu’à 17h30 ?...
Vaguement dépitée, Maria-Magdalena rappela Jean-Marie Cazeneuve pour avancer l’heure du rendez-vous.

Arrivés à Lyon dans la matinée, nous prîmes deux taxis pour gagner la demeure de Jean-Marie Cazeneuve et obtenir davantage d’informations : rapidement nous apprîmes qu’un de ses proches amis, un certain Michel, rencontrait de graves problèmes dans sa toute nouvelle demeure. Presqu’immédiatement après l’emménagement de sa famille dans les murs, des manifestations paranormales étaient survenues : il avait observé différentes silhouettes inquiétantes rôder autour de la maison à la nuit tombée mais surtout, son jeune fils de 3 ans s’était défenestré (ou avait été poussé à le faire) l’avant-veille et le corps avait disparu. Tandis que Jean-Marie contactait Michel pour lui annoncer notre arrivée, nous retournâmes à nos taxis pour nous rendre sur place.

La maison de Michel était située en périphérie de Lyon dans une zone relativement peu habitée et lorsque nous arrivâmes, les services de police locaux étaient encore affairés aux abords de la maison.
Aussi improbable que cela puisse paraître, notre petite troupe réussit sans trop de mal à se faufiler jusqu’à la maison où un Michel visiblement très affecté nous attendait.
Malheureusement, il n’avait pas grand-chose de plus à nous apprendre sur ce qui s’était passé : alerté par les cris, les pleurs et le fracas de la vitre qui avait volé en éclats, il avait vu de ses yeux le corps inanimé et en piteux état de Renaud, son enfant. Le temps de rentrer pour alerter les secours, il avait constaté sa disparition à son retour et depuis la Police fouillait les alentours. Extrêmement choquée, son épouse était partie entretemps chez ses parents pour y trouver sécurité et réconfort et il était resté seul sur le lieu du drame.
Tandis que le gros de notre troupe montait à l’étage pour inspecter la chambre de l’enfant, je décidai de contourner la maison pour examiner le point d’impact sous la fenêtre, alors que Gwen sortait sa plaque avec conviction dans l’intention visible d’aller se présenter à ses collègues un peu plus loin.
Au sol, sur la pelouse abimée qui manquait d’entretien, une immense trace de sang séché contrastait avec la verdure environnante. A y regarder de plus près, la surface en question était beaucoup plus longue et large qu’une taille d’enfant en bas âge… Je levai la tête et aperçut mes camarades en train d’étudier la vitre fracassée. De là où je me trouvais, la trajectoire supposée de l’enfant portait à croire qu’il avait traversé la vitre avec une force de projection remarquable pour aller s’écraser bien plus loin qu’au pied du mur, sous la fenêtre. Effectivement, quelque chose ne collait pas… mais quoi ?
Des éclats de voix coupèrent court à mes interrogations et je me retournai pour voir Gwen en plein conflit avec ses collègues et se disputant un sac noir de coroner qu’elle tenait d’un côté et eux de l’autre ! Un soupir m’échappa : si seulement Novalis m’avait accordé son pouvoir spécial, je me serais fait une telle joie de jeter une couronne de fleurs au milieu de la scène pour mettre tout le monde d’accord… Je m’imaginais bien danser avec eux, reproduisant presqu’à l’identique la scène du film The Mask sorti l’année dernière où Jim Carrey transformait un bataillon de policiers en troupe de comédie musicale. Seulement voilà, je ne tressais pas de couronne de fleurs pour faire danser, non, moi je lisais les sentiments et là je sentais bien que les policiers étaient à 1000 lieues de vouloir danser la samba avec Gwen…
Mais trêve de plaisanterie et retour à l’enquête ! Pépito venait de me rejoindre et observait à son tour la trace d’impact au sol. Michel nous avait dit avoir emménagé la semaine dernière, ravi d’avoir déniché cette grande maison à un prix dérisoire… C’était louche et j’aurais voulu en savoir plus sur les précédents occupants. J’avisai Pépito de mon intention d’aller parler aux voisins et m’éloignai de la scène. Les habitations étant assez clairsemées, je tentai ma chance avec la propriété la plus proche qui était déjà presque trop éloignée à mon goût ! Pas de bol, personne ne répondit à mes coups de sonnette répétés… Déçue, je m’en retournai donc chez Michel retrouver mes camarades.

Lorsque je franchis la porte, je découvris que Michel n’était plus là et Joël expliquait à Pépito, Gwen et Penny qu’il avait été attaqué dans le grenier par une cocotte-minute maléfique qui s’était enfuie en traversant le toit… Je me tournai vers Penny qui était en train de jouer avec une ribambelle de poupées en porcelaine toutes poussiéreuses et lui demandai :
- Maria-Magdalena est partie ??
- Non, elle est à l’étage, je l’ai laissée dans le placard
, me répondit-elle avec un sourire tout à la fois angélique et effrayant.
- Et Michel ?
- Lui par contre il n’est plus là, il a proposé qu’on dorme ici ce soir et il est parti rejoindre sa femme après que Maria-Magdalena l’ait terrorisé en prenant la forme de son fils.

Décidément, j’avais dû rater autre chose que l’heure du thé…

La nuit tomba assez rapidement et en effet, comme l’avait prédit le propriétaire des lieux, sitôt que la pénombre eut envahi le jardin, deux ombres se détachèrent des fourrés pour approcher de la maison. Joël et Gwen se précipitèrent à leur rencontre, épée à la main pour le premier et pistolet au poing pour la seconde, suivis de près mais pas trop par Pépito. L’accueil serait chaleureux car il ne faisait aucun doute que nous avions affaire là à des non-vivants. Dans l’immédiat, je décidai de rester à l’intérieur avec Penny et Maria-Magdalena (toujours en forme de petit garçon de 3 ans). De là où nous étions, nous vîmes au travers de la fenêtre les deux silhouettes arriver au contact de Joël. Si nous avions douté un seul instant de leur nature, la vision d’horreur qu’ils nous offraient aurait dissipé tout doute possible : le premier individu avait dû être un homme autrefois mais il n’était plus qu’amas de graisse et de sang, une multitude de clous sortant de son ventre nu et flasque ; le second était d’apparence aussi féminine que pouvait l’être un corps maigre dont le visage aurait été découpé et rassemblé sans cohérence aucune – les oreilles alignée sur le haut du crâne, les yeux dans les narines et une masse de cheveux dégueulés d’une bouche qui semblait la seule à avoir conservé son emplacement d’origine. Penny se mit à hurler, bientôt imitée par Maria Magdalena. En voulant se réfugier à l’étage, elles s’immobilisèrent devant la fenêtre opposée du salon et hurlèrent de plus belle en pointant du doigt l’extérieur : un troisième individu se trouvait là, ou plutôt un tronc féminin décharné qui s’était vu décapité et amputé d’un bras et des deux seins, tenait de son bras restant un sac rebondi. Je tendis les mains, prête à lancer un éclair tandis que le combat commençait dehors. J’entendis le cri de charge de Joël, le premier coup de feu de Gwen ainsi qu’un juron émanant de Pépito et je sus qu’il avait raté son éclair. J’attaquai la femme tronc au travers de la fenêtre en lançant un éclair moi aussi mais celle-ci d’un brusque mouvement de reins esquiva sans peine le flux électrique et chargea en retour. Assez rapidement, Joël et Gwen vinrent à bout de leurs assaillants et se chargèrent également de la femme-tronc, Pépito et moi étant bien obligés de reconnaître que les éclairs semblaient sans effet sur ces morts-vivants…
Une fois le calme relativement revenu, Gwen, Joël, Pépito et moi sortîmes pour explorer les alentours. Dans les fourrés d’où étaient sortis les deux premiers assaillants, nous découvrîmes un endroit où la terre avait été fraichement retournée. En creusant un peu, Joël tomba sur le corps de « Bide-à-clous » qu’il décida de finir de mettre en pièces, espérant peut-être apporter ainsi un repos plus définitif à l’abomination. C’est alors qu’un cri déchira le silence ; il n’y avait pas à dire, Penny avait de la voix. Nous revînmes en hâte vers la maison pour constater que la femme-tronc s’était relevée et ramassait sa tête qui avait roulé pour la remettre dans son sac à tatons… Joël et Gwen l’aplatirent une nouvelle fois avant de se ruer à l’intérieur pour récupérer Penny et Maria-Magdalena. Ils étaient à peine ressortis que « Bide-à-clou » et « Touffe-sur-la-langue » réapparaissaient au fond du jardin… D’un commun accord, nous quittâmes les lieux bien décidés à trouver des informations en ville pour revenir mieux préparés le lendemain et accessoirement en journée !

De retour en ville, alors qu’il faisait encore nuit, nous nous rendîmes dans une église afin de questionner le prêtre sur les décès étranges qui auraient pu avoir lieu récemment ; il bredouilla quelques phrases sur un triple meurtre non élucidé qui avait défrayé les chroniques mais ne sut en dire davantage.
C’est pourquoi, dès l’ouverture de la bibliothèque municipale, nous consultâmes les archives du journal local et parcourûmes des articles relatifs au triple meurtre dont les victimes, un couple et leur jeune fille, n’avaient pas été retrouvées (les enquêteurs avaient estimé à la quantité de sang retrouvé qu’ils avaient tous péri) ainsi que d’autres ayant trait à la disparition inquiétante d’un enfant dans un parc de la ville ; là aussi, seule une quantité de sang très alarmante avait été découverte sur les lieux.
Nous savions à présent que la mort du petit Renaud, l’enfant de Michel, n’était pas un cas isolé mais nous n’étions guère plus avancés sur le ou les auteurs de ces attaques.

Bien décidés à réexaminer les corps de nos assaillants de la veille, nous retournâmes chez Michel mais avant même d’atteindre le seuil de la demeure, nous entendîmes des hurlements terribles en provenance de la propriété voisine.
Nous nous précipitâmes en direction des cris mais ceux-ci cessèrent bien avant que l’on puisse constater de nos yeux la véritable boucherie qui venait d’avoir lieu : gisant dans une mare de sang, le couple de voisins que je n’avais pas pu rencontrer la veille avait de toute évidence été bien mal inspiré de rentrer chez lui aujourd’hui…
Au-dessus des corps, une cocotte-minute flottait dans les airs, entourée d’une multitude d’ustensiles apparemment bien affutés. Joël sortit son épée tandis que Gwen dégainait et que Pépito attrapait quelques fléchettes. Bien décidé à prendre sa revanche, Joël invoqua le pouvoir de son archange et abattit sa lame sur la cocotte-minute. Celle-ci prit le coup en pleine face… heu… plein couvercle mais contre-attaqua immédiatement, blessant sérieusement l’ange de Laurent. La balle de Gwen ricocha sur la cocotte, tout comme la flechette de Pépito. Avec les quelques forces que j’avais récupérés dans la nuit, je pus me permettre de lancer un unique éclair et il fut magnifique ! Il s’abattit avec fracas sur la cocotte qui tomba à terre et tous ses ustensiles crépitèrent encore quelques instants. Profitant de l’occasion, Joël abattit une nouvelle fois son épée sur le récipient. Les projectiles de Gwen et Pépito furent sans effet… Sans conviction, sans arme et sans pouvoir, je me résignai à lancer des cailloux qui n’eurent pas davantage d’effet que les balles ou les fléchettes. Joël continuait de tabasser la cocotte quand celle-ci recommença à léviter de nouveau et à faire tournoyer ses ustensiles. Gwen et Joël s’acharnaient en pestant dessus, Pépito quant à lui ne voyant rien qu’il puisse faire décida de danser la Macarena (pour déconcentrer l’adversaire ?), Penny et Maria Magdalena restaient figés… la situation semblait critique.
Dans un élan de désespoir profond, je fis appel à tous mes souvenirs de stratégie culinaire, laissant mon esprit vagabonder entre les inox de la cuisine de mon restaurant, imaginant ce que ferait Hector le Chef cuistot face à une cocotte-minute récalcitrante… et là : l’illumination !! Je hurlai soudain :
-Eureka !! J’ai trouvé ! Il faut faire… « Pschiiittt la cocotte » !!
Gwen me jeta un regard sceptique en répétant « Pschiiittt la cocotte ? » puis je la vis bondir sur l’autocuiseur en hurlant:
- « PSCHiiittt LA COCOOOOTTE !!! »
Elle en arracha le capuchon (je crois…) à moins que ce ne soit la soupape (peut-être…) et dans un dernier sursaut, la cocotte s’immobilisa tandis que tous ses ustensiles tombaient au sol.
Et alors que Pépito continuait de danser la Macarena, Gwen se redressa et m’adressa d’un air goguenard :
-Tu pouvais pas le dire avant ?... :?
Avatar de l’utilisateur
Ben
Dresseur de chiens de Tindalos
Messages : 399
Inscription : 26 nov. 2012, 22:19

Re: Vous m’Andee-rez tant !

28 mai 2014, 20:26

Ou comment faire croire qu'on a assuré, mené une enquête de main de maître et combattu héroïquement les forces du mal ! :lol:
C'est toi qui sera chargée du rapport aux supérieurs désormais. :nod:
Bravo !
Avatar de l’utilisateur
Harley Quinn
Cultiste
Messages : 767
Inscription : 09 déc. 2013, 10:58

Re: Vous m’Andee-rez tant !

28 mai 2014, 20:34

Rapport agréable à lire ! Cela dit, le dernier en liste pour cette campagne puisqu'on passe à Eclipse Phase après, je crois ! ;)
Coin-coin, troisième dan.
Avatar de l’utilisateur
Celsiane
Tourneur de page du Necronomicon
Messages : 259
Inscription : 22 avr. 2014, 23:44

Re: Vous m’Andee-rez tant !

28 mai 2014, 21:08

Je me suis bien amusée ce soir là et je ne voulais pas oublier de sitôt le "Pschiittt la cocotte" :oops:
Aussi j'espère ne pas avoir dénaturé les personnages des autres joueurs ni avoir (trop) bafoué l'univers du jeu par ma méconnaissance de l'environnement (autre que floral :nanana: ) - mais je prévois quand même en présentant mes excuses anticipées x)
Avatar de l’utilisateur
Aline
Archiviste-Economat du Culte
Localisation : blagnac
Messages : 1909
Inscription : 28 oct. 2010, 16:58

Re: Vous m’Andee-rez tant !

29 mai 2014, 12:14

:D PSCHiiittt LA COCOOOOTTE !!! Youhou !!!! :D
L'imagination est plus importante que le savoir. Le savoir est limité alors que l'imagination englobe le monde entier, stimule le progrès, suscite l'évolution. - Einstein -
Avatar de l’utilisateur
Harley Quinn
Cultiste
Messages : 767
Inscription : 09 déc. 2013, 10:58

Re: Vous m’Andee-rez tant !

29 mai 2014, 13:20

Les combats furent épiques.
Coin-coin, troisième dan.
Avatar de l’utilisateur
Celsiane
Tourneur de page du Necronomicon
Messages : 259
Inscription : 22 avr. 2014, 23:44

Re: Vous m’Andee-rez tant !

31 mai 2014, 17:35

Photo prise avant hier - exprès pour toi, Aline ;)
Pièces jointes
WP_000757.jpg
Pschittt !
WP_000757.jpg (1.05 Mio) Consulté 12551 fois
Avatar de l’utilisateur
Aline
Archiviste-Economat du Culte
Localisation : blagnac
Messages : 1909
Inscription : 28 oct. 2010, 16:58

Re: Vous m’Andee-rez tant !

31 mai 2014, 20:31

Héhé :grin:
L'imagination est plus importante que le savoir. Le savoir est limité alors que l'imagination englobe le monde entier, stimule le progrès, suscite l'évolution. - Einstein -
Avatar de l’utilisateur
Dende
Invocateur des projets non euclidiens du Culte
Localisation : Blagnac
Messages : 1781
Inscription : 09 oct. 2010, 19:15

Re: Vous m’Andee-rez tant !

05 juin 2014, 11:59

Après te l'avoir dit de vive voix, merci beaucoup pour ce résumé qui nous fait bien revivre cette dernière (4ème) partie de MV, basé sur une suite de one-shot.

Nous passons donc à Eclipse Phase pour cet été, sur une mini campagne d'introduction, à priori sur 3 scénarios pour nous accompagner sur septembre.
« Vous avez ici une oeuvre d’art unique que vous ne verrez jamais nulle part ailleurs. Par contre, si vous en voulez d’autres, j’en ai une douzaine à l’arrière de ma charrette. » – Delberz Trötte, Négociant

Revenir à « In Nomine Satanis/Magna Veritas »