Résumé fin de saison
Publié : 15 févr. 2014, 13:36
Sapiek, parfois appelé par les connaisseurs le “néenderdalien”, n’est pas très grand (1m50 pour 90 kg environ). On ne peut pas dire qu’il se rattrape par son faciès non plus. Tête proche d’un cube qui aurait été enfoncée par une enclume en son milieu et dominée par un os frontal proéminent à la Elephant man. Le tout bordé de cheveux fins aux reflets roux répartis ça et là.
Mais aujourd’hui Sapiek est un héros.
Calé sur un des côtés de la cabine et bercé par le bruit des pales de l’hélico, il contemple le paysage de Honk Kong qui défile. Sourire béat, un filet de bave qui s’écoule du coin de sa bouche, Sapiek se refait le film.
Tout avait mal commencé. Venu par ses propres moyens du fin fond de son village de Turquie pour affronter le grand Arselan dans un tournoi de Street fighters à Hong Kong, il était arrivé juste après que la fin du tournoi…
Pourtant, Sapiek se devait de prouver sa valeur.
Malgré une enfance faite d’humiliations et de brimades, il était parvenu, grâce à son coup de boule ravageur notamment, à devenir champion des arènes d’Anatolie.
Son histoire se devait de s’étendre au-delà des frontières deTurquie.
Bref, après moultes péripéties dont il n’avait pas tout à fait saisi le sens par ailleurs, il s’était retrouvé dans cette mission avec les compagnons qu’il s’était fait à Hong Kong. Tous des combattants intrépides apparemment. Comme lui en fait. C’est sûrement pour ça qu’ils l’avaient accepté dans leur groupe d’ailleurs. Il était comme eux quelque part.
Lui, il faisait parti de l’équipe 2. Et oui comme dans certains film d’action qu’il avait eu la rare occasion de voir quand il était plus jeune: les héros se répartissent en équipe pour les missions difficiles.
Un peu anxieux quand même de décevoir ses nouveaux compagnons, ça l’avait rassuré quand on lui avait expliqué que sa mission était simple: tout défoncé quand on le lui ordonnerait.
Il fallait atteindre un hélico qui allait atterrir tout en haut d’un immeuble apparemment.
Quand ça a commencé à bouger, tout ce qu’il se rappelle c’est le défilement des murs de l’hôpital, des cages d'escaliers et des policiers avec des boucliers.
Tout tournait. Surtout que lui n’arrêtait pas d’enchaîner coup de boule rotatif sur coup de boule rotatif.
Les choses volaient et s’explosaient sous les coups centrifuges de son os frontal.
Les filets de bave, quoique inoffensifs, volaient aussi sous l’effet centrifuge.
Vraiment, cette mission était une réussite.
Mais aujourd’hui Sapiek est un héros.
Calé sur un des côtés de la cabine et bercé par le bruit des pales de l’hélico, il contemple le paysage de Honk Kong qui défile. Sourire béat, un filet de bave qui s’écoule du coin de sa bouche, Sapiek se refait le film.
Tout avait mal commencé. Venu par ses propres moyens du fin fond de son village de Turquie pour affronter le grand Arselan dans un tournoi de Street fighters à Hong Kong, il était arrivé juste après que la fin du tournoi…
Pourtant, Sapiek se devait de prouver sa valeur.
Malgré une enfance faite d’humiliations et de brimades, il était parvenu, grâce à son coup de boule ravageur notamment, à devenir champion des arènes d’Anatolie.
Son histoire se devait de s’étendre au-delà des frontières deTurquie.
Bref, après moultes péripéties dont il n’avait pas tout à fait saisi le sens par ailleurs, il s’était retrouvé dans cette mission avec les compagnons qu’il s’était fait à Hong Kong. Tous des combattants intrépides apparemment. Comme lui en fait. C’est sûrement pour ça qu’ils l’avaient accepté dans leur groupe d’ailleurs. Il était comme eux quelque part.
Lui, il faisait parti de l’équipe 2. Et oui comme dans certains film d’action qu’il avait eu la rare occasion de voir quand il était plus jeune: les héros se répartissent en équipe pour les missions difficiles.
Un peu anxieux quand même de décevoir ses nouveaux compagnons, ça l’avait rassuré quand on lui avait expliqué que sa mission était simple: tout défoncé quand on le lui ordonnerait.
Il fallait atteindre un hélico qui allait atterrir tout en haut d’un immeuble apparemment.
Quand ça a commencé à bouger, tout ce qu’il se rappelle c’est le défilement des murs de l’hôpital, des cages d'escaliers et des policiers avec des boucliers.
Tout tournait. Surtout que lui n’arrêtait pas d’enchaîner coup de boule rotatif sur coup de boule rotatif.
Les choses volaient et s’explosaient sous les coups centrifuges de son os frontal.
Les filets de bave, quoique inoffensifs, volaient aussi sous l’effet centrifuge.
Vraiment, cette mission était une réussite.