Compte rendu
Publié : 27 sept. 2015, 00:23
Petit résumé de notre première séance
Les Tenebrosi, héros de cette histoire sont :
- Gianluca, le petit voleur de Clémence dont l'ombre ment comme un arracheur de dent (Maz)
- Kelebaïs, le baladin thémésien, à l'ombre moqueuse et bavarde (Isanovish)
- Cossimo, le dévot sud-lombrien, à l'ombre maternelle et protectrice (Majac)
- Peter, le duelliste lagasheiner à l'ombre très (trop) franche (Nans)
Une prêtresse de Sélène, la Douce, par sa sollicitude et ses conseils a joué un rôle dans la vie de chacun des Tenebrosi. Elle les a réunis à proximité de la cité de Montenero dans une auberge de bord de route. Une de ses disciples, Annette Dienst, a sollicité son aide. Elle suspecte un culte de Shaïtar de s’être implanté en ville. La Douce souhaite que les Tenebrosi aillent aider Annette pour trouver les éventuels Shaïtanistes et les éradiquer le cas échéant. Annette travaille pour le Duc de Montenero, Ettore Poggi.
Propos entendus dans une taverne du Quartier de Pietrini entre un gars de Montenero et un marchand étranger
Alors Montenero tu vois, c’est une cité qu’on a construit sur une grosse colline de pierre noire où il y avait une ruine tarque, le dôme de Pavena. La cité s’est beaucoup développée, jusqu’à s’étendre dans la plaine, la ruine a été rénovée pour servir de lieu de réunion du Conseil de la Cité et un Duc règne avec l’aval du Conseil pour protéger les gentils artisans et commerçants et favoriser le développement des Arts et des Lettres.
Mais, mon petit loup, sache que Montenero est un sacré pot de merde. On a 5 familles nobles qui dominent le conseil depuis la nuit du temps et qui se disputent le titre de Duc. Ca fait un moment que les Poggi alliés aux deux autres familles ténébreuses, les Tricchi et les Terrini, trustent le poste. Le duc actuel, Ettore Poggi, un beau gars, la quarantaine toujours habillé impec’, a fort à faire avec le vieux Massimiliano Tazzini qui veut sa place. La famille Tazzini a aussi ses toutous : la famille Galdi. Alors, au conseil, c’est coups tordus en série pour gagner à sa cause les voix des conseillers populaires.
Récemment, un conseiller du populo grasso, Federico Gonzo, a changé d’allégeance, il est passé des Poggi au Tazzini. La réaction a été immédiate : des hommes au service du duc ont fait brûler la taverne que les Poggi avait permis au frère de Federico, Bernardo Gonzo, de tenir. C’est là que l’histoire devient intéressante. Les barbouzes du Duc ont eu la surprise de trouver dans la taverne une chapelle manifestement dédiée à Shaïtar. Ses murs sont entièrement peints avec une fresque à la gloire des atrocités commises par le fils de Stélénia. Le style très particulier met mal à l’aise au premier coup d’œil. Les hommes du Duc se sont mis à chercher Bernardo Gonzo et ses employés : introuvables.
Une petite bigote des ténèbres au service du Duc a fait appel à des aventuriers pour qu’il démasque le culte du clair-obscur, hors de tout le merdier politique de la ville. Pas de bol, à peine arrivés en ville, ces gars bizarres ont été repérés par des hommes aux Galdi. Des gros bras payés par les Galdi ont même essayé de leur donner une petite leçon mais ils sont tombés sur plus forts qu’eux : ces aventuriers sont des tenebrosi, tu sais, les mecs bizarres dont l’ombre se déplace seule et use de magie ténébreuse.
Les tenebrosi en question ont été voir la taverne. Je ne sais pas ce qu’ils ont branlé, ils ont réussi à se faire chopper par la milice. Ils ont été relâchés quasi immédiatement. Il faut dire que la milice est dirigée par un Terrini. Faut croire qu’ils ont été aussi secoués par la fresque car, dès le soir même, les voilà à traîner dans la cour des peintres du quartier Malabino. Ils ont identifié une toile au style délirant et apocalyptique proche de celui de la fresque. Le sud lombrien du groupe, déjà en contact avec la mafia sud lombrienne de la cité, a réussi à trouver l’adresse du peintre, lui aussi un sud lombrien.
Dans l’appartement miteux du peintre, ils sont tombés sur des dizaines et des dizaines de peintures représentant des dieux mutilés et des scènes de massacres et de destruction liées à l’histoire du clair-obscur. Et au milieu de tout ça, le peintre, éructant des imprécations sans logique.
Les Tenebrosi, héros de cette histoire sont :
- Gianluca, le petit voleur de Clémence dont l'ombre ment comme un arracheur de dent (Maz)
- Kelebaïs, le baladin thémésien, à l'ombre moqueuse et bavarde (Isanovish)
- Cossimo, le dévot sud-lombrien, à l'ombre maternelle et protectrice (Majac)
- Peter, le duelliste lagasheiner à l'ombre très (trop) franche (Nans)
Une prêtresse de Sélène, la Douce, par sa sollicitude et ses conseils a joué un rôle dans la vie de chacun des Tenebrosi. Elle les a réunis à proximité de la cité de Montenero dans une auberge de bord de route. Une de ses disciples, Annette Dienst, a sollicité son aide. Elle suspecte un culte de Shaïtar de s’être implanté en ville. La Douce souhaite que les Tenebrosi aillent aider Annette pour trouver les éventuels Shaïtanistes et les éradiquer le cas échéant. Annette travaille pour le Duc de Montenero, Ettore Poggi.
Propos entendus dans une taverne du Quartier de Pietrini entre un gars de Montenero et un marchand étranger
Alors Montenero tu vois, c’est une cité qu’on a construit sur une grosse colline de pierre noire où il y avait une ruine tarque, le dôme de Pavena. La cité s’est beaucoup développée, jusqu’à s’étendre dans la plaine, la ruine a été rénovée pour servir de lieu de réunion du Conseil de la Cité et un Duc règne avec l’aval du Conseil pour protéger les gentils artisans et commerçants et favoriser le développement des Arts et des Lettres.
Mais, mon petit loup, sache que Montenero est un sacré pot de merde. On a 5 familles nobles qui dominent le conseil depuis la nuit du temps et qui se disputent le titre de Duc. Ca fait un moment que les Poggi alliés aux deux autres familles ténébreuses, les Tricchi et les Terrini, trustent le poste. Le duc actuel, Ettore Poggi, un beau gars, la quarantaine toujours habillé impec’, a fort à faire avec le vieux Massimiliano Tazzini qui veut sa place. La famille Tazzini a aussi ses toutous : la famille Galdi. Alors, au conseil, c’est coups tordus en série pour gagner à sa cause les voix des conseillers populaires.
Récemment, un conseiller du populo grasso, Federico Gonzo, a changé d’allégeance, il est passé des Poggi au Tazzini. La réaction a été immédiate : des hommes au service du duc ont fait brûler la taverne que les Poggi avait permis au frère de Federico, Bernardo Gonzo, de tenir. C’est là que l’histoire devient intéressante. Les barbouzes du Duc ont eu la surprise de trouver dans la taverne une chapelle manifestement dédiée à Shaïtar. Ses murs sont entièrement peints avec une fresque à la gloire des atrocités commises par le fils de Stélénia. Le style très particulier met mal à l’aise au premier coup d’œil. Les hommes du Duc se sont mis à chercher Bernardo Gonzo et ses employés : introuvables.
Une petite bigote des ténèbres au service du Duc a fait appel à des aventuriers pour qu’il démasque le culte du clair-obscur, hors de tout le merdier politique de la ville. Pas de bol, à peine arrivés en ville, ces gars bizarres ont été repérés par des hommes aux Galdi. Des gros bras payés par les Galdi ont même essayé de leur donner une petite leçon mais ils sont tombés sur plus forts qu’eux : ces aventuriers sont des tenebrosi, tu sais, les mecs bizarres dont l’ombre se déplace seule et use de magie ténébreuse.
Les tenebrosi en question ont été voir la taverne. Je ne sais pas ce qu’ils ont branlé, ils ont réussi à se faire chopper par la milice. Ils ont été relâchés quasi immédiatement. Il faut dire que la milice est dirigée par un Terrini. Faut croire qu’ils ont été aussi secoués par la fresque car, dès le soir même, les voilà à traîner dans la cour des peintres du quartier Malabino. Ils ont identifié une toile au style délirant et apocalyptique proche de celui de la fresque. Le sud lombrien du groupe, déjà en contact avec la mafia sud lombrienne de la cité, a réussi à trouver l’adresse du peintre, lui aussi un sud lombrien.
Dans l’appartement miteux du peintre, ils sont tombés sur des dizaines et des dizaines de peintures représentant des dieux mutilés et des scènes de massacres et de destruction liées à l’histoire du clair-obscur. Et au milieu de tout ça, le peintre, éructant des imprécations sans logique.